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mardi 18 mai 2021

« Immigration, la catastrophe - Que faire ? » de Jean-Yves Le Gallou (2016)

Parue en novembre 2005, une étude de l'INSEE portant sur la décennie 1982–1992 conclura que « la mise en place des zones d'éducation prioritaire (ZEP) n’a eu aucun effet significatif sur la réussite des élèves ». Si elles ne cherchent pas à relever le niveau, les ZEP, par leur multiplication, permettent de mesurer l'extension de l'échec scolaire lié à l'immigration : en 1981, 363 ZEP scolarisaient 8 % des écoliers et 10 % des collégiens ; en 2001, 784 ZEP scolarisaient 15 % des écoliers et 18 % des collégiens.

Avec beaucoup de tact, les inspecteurs généraux expliquent notamment que nombre d'étudiants renoncent à enseigner par crainte d'être affectés en premier… à l'académie de Créteil (…) qui couvre le département du Val-de-Marne et de la Seine-Saint-Denis (…) l'immigration contraint des jeunes gens capables et désireux d'exercer le métier de professeur à y renoncer. L’Education Nationale est donc amenée, d'une part, à baisser le niveau de ses concours, d'autre part, à recruter hors concours et souvent hors compétence une partie des enseignants destinés à exercer leur métier dans ces zones…


Il y a chez nous par an 200 000 entrées d'étrangers (…) 40 à 50 % de ses entrées relèvent du regroupement familial. D’un autre côté, quelques 120 000 Français s'expatrient chaque année vers d'autres pays développés (Grande-Bretagne, États-Unis) ou émergeants (Russie, Chine, Asie du Sud-Est). En somme et en bref, les capacités sortent et les assistés entrent…


Reste que la Grande-Bretagne connaît, elle aussi, un surchômage étranger. On le mesure facilement car, à la différence de la France, on y publie des statistiques ethniques où l'on distingue chaque minorité avec son propre taux de chômage (…) Pakistanais et Bangalais (…) ont un taux de chômage plus de trois fois supérieur à celui des Blancs (…) dans les deux pays, la situation des jeunes immigrés noirs ou musulmans, dont plus du tiers se trouvent sans emploi, est particulièrement critique.


Dans les années 1970, le président Pompidou a ouvert les vannes de l'immigration en France à la demande des grands patrons. Ceux-ci était désireux de disposer d'une main-d'œuvre nombreuse, docile et bon marché, et surtout susceptible de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français.


Selon un rapport de la Chambre des lords de 2008, l’afflux massif d’immigrants au Royaume-Uni dans les années 2000 n'a pas réduit le nombre d'emplois souffrant de pénurie. La conclusion des Lord est claire : « L'argument qui soutient qu’une immigration nette est nécessaire pour occuper les emplois vacants et que les immigrants occupent des emplois que les locaux ne peuvent ou ne veulent pas exercer est fondamentalement erroné ».


(…) la politique migratoire est une politique de redistribution des richesses, qui permet à la super classe mondiale de s'en mettre plein les poches pendant que les peuples se font tonsurer, ceux du Nord s’appauvrissant.


Cette difficulté que les Français rencontrent pour trouver un logement correct dans un quartier agréable est évidemment l'une des causes majeures de la restriction de naissance chez les Français de souche. Ainsi la surfécondité des populations immigrées est-elle l'une des causes de la sous-fécondité des Français de souche.


(…) des clandestins qui bénéficient de l'Aide Médicale d'État (AME) dont les dépenses ont été multipliées par 10 en seulement 15 ans, passant de 100 millions d'euros (en 2000) a plus d'un milliard (en 2015) (…) en 2014, le montant des dettes des malades résidant à l'étranger ou de leur système d'assurance-maladie à l'égard de l'Assistance Publique des Hôpitaux de Paris (APHP) s'élevait à 130 millions d'euros, soit plus du double de son déficit annuel ! 


(…) des étrangers de plus de 65 ans (voire 60 ans en cas de handicap) peuvent toucher, même sans avoir de droits à la retraite, l’Allocation de solidarité pour personnes âgées (Aspa) qui peut s'élever en 2015 jusqu'à 9600 euros par an pour une personne seule.


D'après Benoit Parlos, alors délégué national à la lutte contre la fraude à Bercy, il y aurait quelques 300 000 faux permis de conduire en France…


N'oublions pas que le plus célèbre des tableaux français, La Liberté guidant le peuple d’Eugène Delacroix, évoque la révolution de 1830, déclenchée en réaction aux ordonnances du duc de Polignac sur la presse (…) La loi Pleven en 1972 a en effet réintroduit le délit d'opinion dans le droit français, au nom de « la lutte contre le racisme et l’antisémitisme ». La loi Pleven est d'abord une atteinte la liberté de parole et de débat puisqu’elle condamne « la provocation à la haine ou à la discrimination à raison de la race, de la religion, de l'origine ou de la nationalité ». Or la notion d’« incitation » est floue, celle de « haine » l’est plus encore puisqu'il s'agit d'un sentiment. Tout dépend de l'interprétation du juge, et il en est de très extensives, qui font jurisprudence (…) aujourd'hui, ce n'est pas à l'accusateur de prouver la culpabilité de celui qu’il accuse de discrimination, mais à l'accusé de prouver son innocence.


(…) SOS Racisme. Une association artificielle est subventionnée, créé par Jean-Louis Bianco, alors secrétaire général de l'Élysée, qui était secondé par un conseiller au cabinet présidentiel répondant au nom de… François Hollande (…) Hollande, ancien conseiller de Mitterrand, a été le premier président de l'immigration, en vertu de la stratégie Terra Nova à laquelle il avait contribué (…) Le soir de l'élection, la place de la Bastille était recouverte de drapeaux africains et maghrébins.


(…) c'est un câble publié par WikiLeaks et daté du 25 janvier 2007 qui la révèle. Dans ce document, l'ambassade américaine affirme clairement sa volonté de développer une politique active de soutien et de développement auprès des communautés afro-arabes en France, en visant tout particulièrement les jeunes musulmans (…) Le document explique que l'opération n'a qu'un seul but : faire progresser les intérêts américains en France en favorisant la prise progressive de pouvoir des jeunes Français issus de l’immigration (…) Le titre du projet de Charles Rivkin est sans équivoque : Stratégie d’implication des minorités.


Il y a 30 ans, il y avait environ 3 millions de musulmans en France, ils sont aujourd'hui plus de 6 millions (estimation basse) : à ce bond démographique s'ajoute le fait que cette population s'est largement ré-islamisée ces dernières années (…) 

Il y a désormais 2400 mosquées recensées officiellement (…) 

Une bête de boucherie sur deux est abattue halal en France (…)

Les prisons sont occupées par des étrangers et des descendants d'immigrés à plus de 70 %, et par des musulmans à plus de 50 %

(…) Pour l'Europe (…) nous seuls risquons d’y perdre notre civilisation. Ce n'est pas le cas ni de la Chine, ni de l'Afrique, ni des États-Unis, par exemple. Leurs survie en tant que tels n'est pas en cause (…) Dès 2050, les Européens blancs et chrétiens seront minoritaires en Europe occidentale (…) le collapsus de la civilisation européenne qui s'annonce signifiera une régression mondiale, pour la simple raison que notre monde actuel a été façonné par l’Europe.


« Aucune civilisation n’est détruite du dehors sans s'être tout d'abord ruinée elle-même, aucun empire n’est conquis de l'extérieur, qu'il ne se soit préalablement suicidé. Et une société, une civilisation, ne se détruisent de leurs propres mains que quand elles ont cessé de comprendre leurs raisons d'être, quand l'idée dominante autour de laquelle elles étaient naguère organisées  leur est comme devenue étrangère. Tel fut le cas du monde antique. » (René Grousset, Bilan de l’Histoire, 1946)


Les armées romaines sont de plus « léopardisées » par les Barbares, qui ont leurs propres unités, leurs propres chefs, qui prennent pied peu à peu dans la haute hiérarchie militaire et même dans les familles impériales. Et puis la crise financière atteint un point critique (…) 

À la fin du IVè siècle, en 378, sonne enfin le glas de l'empire d'Occident : paradoxalement cela va se passer à Andrinople (aujourd’hui Edirne, à la frontière gréco-turque), en Orient, et à cause de l'empereur d'Orient, Valens. Las du retard de ses alliés de l'Occident, Valens décide de livrer seul bataille aux Goths rebellés, mais ses troupes sont écrasées, lui-même tué. Quatre ans plus tard, pour la première fois, son successeur Théodose doit renoncer à tout traité imposant une limite aux Barbares : par l'accord de 382, il les laisse entrer en armes, invaincus et avec leurs structures tribales sur le sol romain. Les Wisigoths vont se promener partout en Europe, pillant, rançonnant, négociant, extorquant, des Balkans à l'Italie, et finissant par mettre Rome à sac (410), avant de se tailler, au Vè siècle, un royaume allant de la Loire à Gibraltar.


« Mais alors que les envahisseurs germaniques envahirent l'Empire romain sans véritable bagage idéologique, les Arabes vinrent avec une nouvelle religion, l'islam, (…) Et la conviction que c'était l'islam qui leur avait accordé la victoire sur les grandes puissances de l'ancien monde, Byzance et la Perse. » (Ward-Perkins) (…) 

Au contraire, les Barbares entrant dans Rome se firent chrétiens et adoptèrent le latin pour la culture et l'administration, augmentant ainsi au passage les pouvoirs de l'Église chrétienne et romaine ; il y eut de cette manière une continuité culturelle, identitaire et religieuse sous-jacente qui permit la Renaissance carolingienne, le remarquable essor du Moyen Âge, suivi de la Renaissance, l'aventure du monde moderne.


L'Australie utilise avec énergie sa marine pour décourager les tentatives d'immigration en provenance du Sud-Est asiatique. Une vidéo a d'ailleurs été tournée, mettant en scène un officier supérieur de l'armée australienne qui prévient les candidats à l'immigration dans son pays : « You’re not welcome ! »


En 1950, le nombre de naissances annuel s'est levé à 7,4 millions d'enfants dans ce qui est devenu l'Union Européenne (à 27) et à 8,9 millions dans l'Afrique subsaharienne. (…) 60 ans plus tard, en 1910, on ne compte plus que 5 millions de naissance dans l'Union Européenne contre 32 millions en Afrique subsaharienne. Ainsi, il y a 65 ans, il naissait un enfant en Afrique noire pour un enfant en Europe. Désormais il naît sept fois plus d'enfants en Afrique noire qu'en Europe.


(…) Laurence Parisot vient du monde de la communication et des instituts de sondage, c'est aussi une militante LGBT…

(…) En 1973, peu avant sa mort, le président Pompidou admettait avoir favorisé l'immigration pour satisfaire certains grands patrons, tel Francis Bouygues, l'homme du béton. Ceci souhaitait en effet disposer d'une main-d'œuvre docile, bon marché, dépourvue de conscience de classe et de toute tradition de vie sociale (…) 

L'ajustement du marché du travail se fait moins par les prix (baisse des salaires) que par les quantités (hausse du chômage). La hausse du chômage ayant naturellement un effet modérateur sur les revendications salariales.

(…) sous l'impulsion de Claude Bébéar, PDG d'Axa et président de l'Institut Montaigne, la politique de « discrimination positive » a commencé à se répandre dans les grandes entreprises (…) Le clou ce catalogue est la « charte de la diversité » signée en juillet 2014 par 3227 entreprises, dont les plus grandes…


Samuel Huntington, l'auteur du Choc des civilisations (1997) (…) Pour le penseur de Harvard, le développement du capitalisme mondialisé s’est accompagné de la création d’élites transnationales qu'il nomme « super classe mondiale ». Cette super classe mondiale se limite à quelques millions d'hommes dans le monde qui sont plus solidaires entre eux par leurs intérêts, par les lieux qu’ils fréquentent ou par leur mode de vie, qu’ils ne le sont des peuples dont ils sont issus.


Le baron Edmond de Rothschild l’a défini avec la plus grande clarté voilà plus de 40 ans, dans la revue Entreprise de février 1970 : « L'obstacle qui doit disparaître, le verrou qui doit sauter, c'est la nation. »


Les hommes et les femmes les plus riches (et de plus en plus puisque les écarts de revenus augmentent) sont aussi ceux qui choisissent les gouvernants à travers des organisations internationales comme les groupes de Bilderberg ou de Davos. Il est quasiment obligatoire d’y être invité pour gravir les marches du pouvoir. Ces groupes ont leur propre relais en France : la French American Fondation, ou le club Le Siècle…


(…) le milliardaire Israélien Patrick Drahi pilote Libération, L'Express et l'Expansion, BFM TV et RMC.


Voici ce que déclarait David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank, le 6 juin 1991, alors qu'il accueillait les membres du Bilderberg Group : « Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et à d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l'exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. »


Ce mot de citoyen, qui sera tenu pour l'un des plus honorable par la Ière République, la IIè et la IIIè, qui donnera leur énergie à leurs soldats, va disparaître de la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 adoptée par l'ONU. Désormais l'homme a tous les droits, le citoyen aucun.


Originellement les droits de l’homme consacre la préférence nationale, ce qu’a vérifié la pratique des cinq Républiques (…) Préférence national et droits politiques : (…) Pour être électeur aux états généraux, il fallait être français…


La Ligue des droits de l'homme se prévaut d'une origine prestigieuse : elle a été créée en 1898 pour défendre le capitaine Dreyfus (…)

La loi Pleven de 1972 organise la poursuite en correctionnelle des propos susceptibles d'être considérés comme de la diffamation ou de l'incitation à la haine raciale (…) Elle autorise les associations dont l'objet et la lutte contre le racisme à engager des poursuites judiciaires à la place des particuliers ou du parquet…


En 2010, le ministère de l'Intérieur et la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) signent ensemble une convention (…) tout commissariat de police et toute gendarmerie doivent recevoir et diffuser la documentation de la Licra. Une formation à l’ »antiracisme" est prévue dans les écoles de police et de gendarmerie.


Les règles de fonctionnement de Wikipédia privilégient non les sources primaires, mais des sources secondaires qui font autorité…


D'autres ont préféré céder au chantage de la Licra pour éviter les poursuites. C'est le cas, répétons-le, de l'ancien ministre de l'intérieur Brice Hortefeux et de son directeur de cabinet, le préfet Michel Bart, qui ont passé la fameuse convention de 2010 avec l'association « antiraciste » pour éviter la correctionnelle. Parodiant une célèbre réclame de la prévention routière (…) Brice Hortefeux avait dit après un déjeuner (arrosé ?) de l'UMP : « Un Arabe, ça va… » Quant au malheureux préfet Bart, c'est lui qui rédigea la fameuse circulaire sur les Roms qui enflamma l’Europe entière et le vertueux commissaire européen Viviane Reading. Au lieu d'écrire que « des » communautés roms causaient du souci, il avait écrit : « les ».


Julien Dray cofondera SOS Racisme et en deviendra le vice-président de 1984 à 1988 (…) Fidèle à ses origines d’extrême-gauche, Dray se rapproche de Jean-Luc Mélenchon avec lequel il fonde le mouvement Nouvelle École socialiste… (…) Hélas pour lui, il est à nouveau mis en examen en 2009, avant que l'enquête cesse à la suite de pressions politiques (…) Julien Dray est franc-maçon, affilié au Grand Orient de France… (…) Les montres qu'il porte furent en effet souvent achetées avec un argent qui n'était pas le sien mais celui du contribuable ou de généreux donateurs, tant chez SOS Racisme que dans l'Essonne (…) Dès 1999, notre esthète fut en effet mis en cause dans une enquête préliminaire pour l'achat d'une montre d'une valeur de 250 000 francs, dont plus de la moitié payée en liquide. Mazette ! L’affaire fut cependant classée sans suite. Cette passion surprenante chez un trotskiste faisait parler ses camarades. Elle était connue des militants de SOS Racisme dès les années 1980 : « A SOS, nous avons découvert, non sans surprise, sa passion pour les lunettes, les montres, les stylos, les cartables et les scooters. C'est un véritable maniaque », a déclaré l'un des fondateurs du mouvement, Serge Malik. S’il le dit…


Les médias accompagnent le ramadan d’un battage aussi bruyant qu'ils restent silencieux, laïcité oblige, au moment du carême.


(…) le Cran s'est installé dans le paysage politique en utilisant la thématique de l'esclavage et de la colonisation. Le modèle est encore une fois le Crif et son instrumentalisation de la « shoah ». Le Cran s’impose en procédant à une révision systématique de l'histoire de France puisqu'il réclame que les programmes d'histoire n'abordent plus Colbert ou Napoléon, tous deux accusés de complaisance pour l'esclavage.


Le 10 mai 1985, l’épiscopat français publiait un texte intitulé « Au-delà des différences, les chances d'un avenir commun ». Ce texte affirme notamment que Français et immigrés musulmans peuvent vivre ensemble, que les immigrés font partie de notre avenir national, et encourage tous les hommes de bonne volonté à lutter contre « les préjugés, les peurs et les discriminations ». Quelques mois plus tard, le 15 novembre 1985, le Conseil permanent de l’épiscopat allait même jusqu'à signer un « appel commun à la fraternité » avec la Ligue des droits de l'homme, la Licra, le Mrap, mais également avec la Grande Loge de France et même le Grand Orient de France ! (…) Et le sujet on était l'immigration !


Après les élections de 1986, le ministre de la Justice Albin Chalandon déposa un projet de loi de réforme du code de la nationalité visant à rendre l'accès à la nationalité française plus rigoureux. La conférence épiscopale se fit alors recevoir à Matignon pour exprimer ses réserves.


En 2009, lorsque Brice Hortefeux tenta, à son tour, de traduire timidement en loi les promesses du président Nicolas Sarkozy, les évêques prirent à nouveau position dans le débat. Ils contestaient notamment la notion d’"immigration choisie », la « politique d'expulsion » et la « condition restrictive du regroupement familial »


(…) le cardinal Jean-Pierre Ricard, président de la conférence épiscopale, s'est montré alors opposé à l'utilisation « délétère » des tests ADN dans certaines procédures.


Benoit XVI (…) à l'occasion de la journée mondiale du migrants et du réfugié (…) : « Les États ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières en garantissant toujours le respect dû à la dignité de chaque personne humaine ». Et d'ajouter : « Les immigrés ont le devoir de s'intégrer dans le pays d'accueil, en respectant ses lois et l'identité nationale. »


Jean-Paul II (…) en 1985, lors d'un discours prononcé au 2ème congrès mondial de pastorale de l'immigration, rappelait, après avoir énuméré les méfaits du déracinement, « qu'on ne peut donc pas, a priori, considérer toute émigration comme un fait positif, à rechercher ou à promouvoir ».


(…) La Cimade (comité intermouvements auprès des évacués), une association de solidarité active avec les étrangers, membre de la fédération protestante de France. Forte de sa devise « En France, l'étranger n'est pas un problème ni une menace » (…) La Cimade est en effet partenaire de l'État pour l'accueil des réfugiés et reçoit 4,5 millions d'euros de subventions publiques annuelles, soit les deux tiers de son budget (…) Au profit des étrangers, elle n'a cessé d'en demander toujours plus à l'État, aux Français et à leurs représentants.


Créée en 1971, (…) France Terre d'asile bénéficie de 52 millions d'euros de subventions et de dotations et emploie 560 personnes. Son rôle est double : défendre le point de vue des « demandeurs d'asile », souvent des clandestins en fait, et donc critiquer les politiques gouvernementales, mais dans le même temps mettre en œuvre les politiques publiques en gérant les hébergements d'urgence avec les services de l'État.


Le Gisti (…) Ces forces se rassemblent en 1971, au lendemain de mai 68 : travailleurs sociaux souvent trotskistes ou maoïstes, militants associatifs tel qu'André Legouy, jésuite et ancien aumônier de prison, juristes, et quatre énarques de la promotion Thomas More. Le slogan du groupe, « Liberté de circulation », est évocateur en soi (…) Résultat, il a été le principal créateur du droit de l'immigration au cours des quarante dernières années.


L'association Médecins du Monde est née d'une divergence au sein de l'association Médecins Sans Frontières (MSF), entre ceux qui voulait continuer à mener leur mission humanitaire et ceux qui souhaitaient l'instrumentaliser à des fins politiques. C'est Bernard Kouchner qui prend la tête de MDM en mars 1980, avec l'intention de « témoigner des violations des droits de l'Homme sur le terrain ». Fidèle à sa devise « Au-delà du soin », le nouveau collectif s’installe sur le terrain político-médiatique et place son action sur la promotion de thèses internationalistes, puis mondialistes. Il s'illustre dans la contestation systématique des politiques de régulation des flux migratoires conduits par les états européens (…) Le budget de l'association est confortable puisqu'il est de 67 millions d'euros, dont un tiers, soit 22 millions, de subventions publiques.


L'association DAL (Droit Au Logement) a connu ses heures de gloire à l'arrivée de Bertrand Delanoë à la Mairie de Paris. Il a donné l'ordre à ses services les reloger en priorité les protégés de l'association. Entre 2002 et 2006,90 % des relogements urgents réalisés par la Ville bénéficiaire aussi à des squatters, majoritairement originaire d'Afrique noir.


(…) à Paris, Versailles, Lille, Lyon et Marseille, près de la moitié du contentieux administratif relève du droit de l'immigration. Un contentieux qui est d'autant plus important qu'il est à la fois administratif et judiciaire.


Selon une enquête Ipsos de janvier 2013,70 % des Français trouvent qu'il y a « trop d'étrangers en France » et 62 % estiment que l'on « ne se sent plus chez soi comme avant ».


Le point Godwin. Wikipédia en donne cette définition : « Au départ relative aux discussions sur les forums virtuels, la loi de Godwin peut s'appliquer à tout type de conversation ou débat ; l'un des interlocuteurs atteint le point Godwin lorsqu'il fait référence à un fait en lien avec la « shoah » ou le nazisme alors que le sujet de départ ne s'y prêtait pas. » Le point Godwin est la version Web et anglo-saxonne de la reductio ad Hitlerum théorisée dès 1951 par le philosophe Leo Strauss. Quand on désire discréditer absolument l'adversaire, on l'assimile par une série d'amalgames bien huilés à Hitler lui-même.


Le silence est en effet l'ultime ligne de défense de la classe médiatique pour protéger le mythe sacré des gentils–émigrés–contre–les–méchants-Français (… ) L'omerta a été utile, par exemple, pour taire le pillage de cadavres par des « bandes de jeunes issues des quartiers » (comprenez de jeunes issus de l’immigration) à l’occasion de l'accident de train de Brétigny, en juillet 2013.


(…) pour parfaire ce silence sur les origines, on l’agrémente d'un petit mensonge et on change les nom des protagonistes de faits divers quand ils sont « issus de la diversité » (…) Ainsi quand Djihad (cela ne s'invente pas !) aveugle des pilotes d'avion à coup de faisceau laser, il devient Sébastien pour M6. Salaud de Sebastien ! Et quand le Tchétchène Souleymane tue Kylian, son condisciples de 13 ans, dans un collège breton, il est rebaptisé Vladimir. Comme Poutine, tout simplement !


Il n'y a pas de délinquants étrangers ou immigrés, juste des « jeunes » qui commettent des « incivilités ». Il n'y a pas davantage de « banlieues de l'immigration », juste des « quartiers populaires » (…) Le terme « clandestin » est banni du vocabulaire public. Il a été remplacé par « sans-papiers » (diable ! qu’attend-on pour leur en donner ?), puis par « migrants », plus seyant qu’immigrant tout de même, et même par « réfugié ». Réfugié, le choix du mot débouche sur la politique à suivre : un clandestin, cela s'expulse, un réfugié, cela s’accueille.


Deux très grandes agences se partagent le marché français : Publicis et Havas Worldwide (Euro RSCG jusqu’en 2012). 

Le principal détenteur d'actions de vote de Publicis reste encore aujourd'hui la femme de lettres, philosophe, féministe et « antiraciste » Elizabeth Badinter. Son directeur général est le flamboyant Maurice Lévy : homme de réseaux, membre du Siècle, organisateur du forum économique mondial de Davos et invité du Bilderberg, il fut aussi, de 2010 à 2012, le président de l'Association française des entreprises privées, favorable à la mondialisation de l'économie. En janvier 2008, Maurice Lévy a par ailleurs reçu l'International Leadership Award, décerné par l’Anti-Defamation League américaine, en récompense de son engagement en faveur de la « tolérance de la diversité ». Que le patron opérationnel de la deuxième agence mondiale de publicité soit ainsi célébré par la principale organisation « antiraciste » américaine est révélateur du rôle joué par la publicité dans le conditionnement de l'opinion.

Le deuxième grand opérateur de communication français, c'est Euro RSCG. Cette agence est devenue en 2012 Havas Worldwide. Elle est dirigée par Stéphane Fouks, militant socialiste communautaire, qui siège notamment au comité directeur du Crif depuis 2013.

Ce tableau serait incomplet si on ne parlait pas du plus grand réseau d'affichage de transports au monde : Média Transport (…) Cette entreprise est dirigée par Benjamin Badinter (fils d'Elisabeth et de Robert Badinter) et Gérard Hinger (…) lui aussi est un militant socialiste, communautaire et antiraciste. Il a d'ailleurs siégé au bureau exécutif du Crif jusqu'en 2010 et reste le vice-président de la Licra, chargé de la communication jusqu'à ce jour.


(…) la régie Métrobus, qui promeut le ramadan ou les produits « fièrement halal », n'a pas hésité à interdire la mention « en faveur des chrétiens d'Orient » qui apparaissait sur la publicité d'un concert du groupe Les Prêtres, un interdit commodément justifié au nom de la laïcité. Seul un tollé a forcé Métrobus à rétablir cette mention.


Le message de l’hédonisme est clair : l'homme coupé de ses racines ou de ses références, arraché à ses déterminismes et débarrassé de ses entraves, peut enfin se « faire du bien ».


(…) Yoplait à distribué des calendriers musulmans rappelant l'exigence des cinq prières quotidiennes.

La publicité n'est donc pas neutre. L’idéologie pubarde est en fait l’idéologie du grand mélange.


(…) En 1995, il y avait parmi les nouveaux Français reçus en une année deux non-Européens pour un Européen ; en 2010 il y a six non-Européens pour un Européen. La prééminence des non-Européens dans les nouveaux Français a donc été multipliée par trois en 15 ans (…) 

On sait également que 1 427 000 étrangers ont acquis la nationalité française entre 1999 et 2009 : ces personnes ont donc disparu des statistiques sur les étrangers.


(…) les principaux arrêts du conseil d'État, juge suprême du droit des étrangers, ont été rendus par des magistrats qui, eux, militent activement dans les associations immigrationnistes ! Ils participent un jour au colloque du Gisti ou de la Cimade et, le lendemain, prennent des décisions politiques en faveur de l'élargissement du droit des étrangers (…)

Jusqu'à la fin des années 1970, l’immigration était suivie au Ministère de l'Intérieur (…) On choisissait généralement pour la diriger à préfet (…) À partir des années 1980, (…) son commandement est confié à un conseiller d’État (…) 

Le premier des « grands arrêts de la jurisprudence administrative » date de 1978 et élève au rang de « principe général du droit » le droit, pour les nationaux comme pour les étrangers, de « mener une vie familiale normale » en France. En clair, cet arrêt (…) impose le regroupement familial des familles étrangères en France (…) Les regroupements familiaux représente à eux seuls 90 000 entrées par an, soit la moitié des entrées régulières.


(…) plusieurs Algériens expulsés parce qu'ils étaient soupçonnés d'avoir entretenu des liens avec des organisations terroristes ont saisi la CEDH et réussi à faire condamner la France parce que les juges ont estimé qu’ils risquaient la torture en Algérie ! (…) depuis sa création en 1950, la CEDH a condamné la France un peu plus de 600 fois, la plupart du temps sur des contentieux impliquant des étrangers. Cela n'est pas étonnant lorsqu'on se rappelle que la CEDH a été présidée par le français Jean-Paul Costa, bien connu pour son militantisme socialiste en France. Le juge avait été auparavant le directeur de cabinet d'Alain Savary, ministre de l'éducation nationale de François Mitterrand, à l'origine de la loi Savary qui visait la destruction de l'école libre.


En matière de droit des étrangers, c'est le Conseil constitutionnel le vrai législateur, et non le parlement. 


Avant d'écrire et de voter une loi, les ministres, leur cabinet et les parlementaires ne se demandent plus ce qu'il faut faire, mais ce qu'il est possible de faire pour ne pas se heurter au pouvoir judiciaire. Résultat : l'homme qui rédige les lois depuis 40 ans est un conseiller d'État qui sait mieux que tous ce que ses collègues des institutions accepteront ou non.


Cette révolution s'est appuyée sur une admiration sans bornes du modèle américain où la Cour suprême détient le vrai pouvoir.


Il existe pourtant un service commun aux pays de l'Union européenne qui adhèrent à Schengen : l'organisme Frontex. Son budget est dérisoire : 80 millions d’euros. Il a même été diminué de 8 % entre 2012 et 2014 (…) L'organisation de Bruxelles ne cherche pas à limiter l'immigration clandestine, elle entend la répartir entre les pays membres.


(…) le scepticisme prétentieux des gens de cabinet. Je l'ai entendu d’un grand ponte, sous un gouvernement socialiste il est vrai : « Les préfets ne le prennent pas assez de recul. » Pourtant la réalité que ces « vigies » de la République décrivaient il y a 10 ans n'était pas niable, elle l’est encore moins aujourd’hui.


Pendant toute ma vie politique, notamment lors des 18 ans que j'ai passés au Conseil régional d’Île-de-France en tant que président de groupe, j'ai souvent entendu cette formule (…) « Il faut me comprendre, je suis lâche. »


Un homme politique qui accorde des avantages financiers ou immobiliers à des associations communautaires recevra leur soutien (…) Sur 184 lieux de cultes musulmans construits ou programmés de 2012 à 2015,114 ont bénéficié de terrains publics. Merci messieurs les maires de cette « générosité » au frais du contribuable (…) l’inauguration par Manuel Valls de la grande mosquée de Cergy, édifiée sur un terrain de la mairie socialiste contre un loyer dérisoire, alors que son imam défend les Frères musulmans. Autre belle image, la Mairie de Paris, qui croule sous une dette de 400 millions d'euros mais trouve 16 millions pour construire son Institut islamique (…) À Nantes, en 2009, le maire, alors Jean-Marc Ayrault, a contribué à financer à hauteur de 200 000 € l’Institut islamique de la branche française des Frères musulmans (dont le guide suprême compte « contrôler l'Europe »), l’UOIF.


Cependant plusieurs lois restrictives sont votées dans les années 1930 : en 1933 et 1934 pour limiter l'accès des étrangers à certaines professions (avocats, médecins, qui sont nombreux parmi les parlementaires) ; en 1932 pour imposer des quotas d'ouvriers étrangers dans les entreprises - loi Herriot. Il s'agissait de lois de préférence nationale qui ne connaissait pas encore leur nom. Le patronat, soutenu par l'État, n’hésite pas de son côté à procéder à des expulsions aussi massives que les entrées qu'ils avaient organisées, notamment les mineurs polonais envoyés par trains entiers dans leur pays d'origine. 

Il faut aussi relever les décrets-lois pris en 1938 par le président du Conseil Edouard Daladier, l'homme qui combattait « les 200 familles », qui avait été ministre de la Défense de Léon Blum qui était soutenu par la chambre du Front populaire. Le décret-loi du 2 mai institue la carte d'identité des étrangers et punit d'un an de prison et d’expulsion quiconque demeure en France à l'expiration de son droit de séjour. Celui du 12 novembre prévoit la déchéance de la nationalité des Français naturalisés condamnés à un an de prison. La gauche issue du Front populaire était bien plus stricte en matière d'immigration que la droite d’aujourd'hui.


En 1991 (…) le nouveau premier ministre Edith Cresson (…) réaffirme la nécessité de charters pour les reconduites à la frontière de clandestins et prend une série de mesures de lutte contre l'immigration clandestine (…) la même année, le Conseil d'État rend l’arrêt « Belgacem », qui stipule que les clandestins menacés d'expulsion peuvent bénéficier de la Convention européenne des droits de l'homme si celle-ci leur est plus favorable que le droit français. En clair, c'était un coup de poignard dans le dos de toute tentative de durcissement du contrôle des flux migratoires.


En 1998 (…), les lois Guigou et Chevènement suppriment la demande de nationalité auparavant nécessaire au mineur né en France de parents étrangers (…) Chevènement introduit une régularisation automatique au bout de dix ans de présence.


Merci à Georges Pompidou d'avoir fait voter la loi Pleyel qui rend illégale la préférence nationale en l’assimilant à une discrimination. Merci à Valérie Giscard d'Estaing et à Jacques Chirac d'avoir ouvert la voie au regroupement familial.


Georges Marchais (…) dans une lettre au recteur de la Grande Mosquée de Paris : « (…) en raison de la présence en France de près de 4 millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leur famille, la poursuite de l'immigration pose aujourd'hui de graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les mesures indispensables. La cote d'alerte est atteinte (…) C'est pourquoi nous disons, : il faut arrêter l'immigration (…) Je précise bien : il faut stopper l'immigration officielle et clandestine. Il faut résoudre l'important problème posé dans la vie locale françaises par l’immigration. »


Doté d'un appareil de surveillance (les médias) et de sanction (la justice), le système formate les hommes politiques et les sélectionne, promouvant ceux qui lui obéissent et écartant ceux qui résistent.


Le mot « intégration » (…) a été lancé par Jacques Soustelle, gouverneur général de l'Algérie en 1955, en pleine guerre d'indépendance. Ce sociologue d'origine marxiste, gaulliste de gauche, y voyait un moyen de réconcilier la communauté « européenne » et la communauté « musulmane », comme on disait alors.


Charles De Gaulle : « Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber 10 millions de musulmans, qui demain seront 20 millions et après-demain 40 ? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie était considérés comme français, comment les empêcherez-vous de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie est tellement plus élevé ? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-Les-Deux Églises, mais Colombey-Les-Deux-Mosquées. »


(…) l'assimilation n'apparaît possible que pour des individus et non pour des peuples (…) Elle n'a aucune chance d'être opératoire pour les masses immenses qui occupent les banlieues de l'immigration. C'est ce qui expliquait Malika Sorel, Algérienne devenue française par choix, dans un entretien accordé au Spectacle du Monde en octobre 2010: « Devenir français est un processus qui doit être personnel, car il faut être prêt à assumer d'inscrire ses propres descendants dans un nouvel arbre généalogique qui n'est pas celui de ses ascendants biologiques et culturels. Il y a là une véritable rupture, très difficile à assumer. C'est pourquoi,  aujourd'hui, pour une multitude de raisons, peu de gens ont le désir de devenir français. Ils prennent les papiers parce qu'ils savent que c'est le sésame avec lequel il n’auront plus jamais faim. Ils sont honnêtes et l’avouent : je ne suis pas français, j'ai juste les papiers. C'est la classe politique, dans son ensemble, qui ment et occulte ce que signifie l'identité française. »


Le plus connu de ces plans d’aide au retour et le premier mis en place sous le gouvernement Barre et la présidence de Valerie Giscard d'Estaing. Il consistait à accorder une somme de 10 000 francs aux étrangers qui repartaient dans leur pays d'origine (ce qui équivaudrait en euros, en 2014, à 6800€, selon l'estimation de l'INSEE) (…) À peine quelques dizaines de milliers de personnes en ont profité avant que le dispositif soit finalement abandonné. En 2006, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'intérieur, a relancé un dispositif semblable avec un pécule de 2000 € : 3000 étrangers seulement en ont bénéficié volontairement. Rapportés aux 200 000 entrées annuelles d'étrangers en France, cela fait 1,5 % (…) Ces 2000 € ont donc simplement été touchés par 3000 étrangers qui avaient décidé de retourner dans leur pays et pour qui les services administratifs ont rempli un dossier. C'est ce qui s'appelle un effet d’aubaine.


Plus les règles sont complexes, plus le pouvoir des juges va s’accroître puisqu'il leur revient de les interpréter, sous le contrôle du Big Brother médiatique et associatif, les décisions judiciaires faisant toujours primer les droits particuliers des étrangers sur les droits collectifs du peuple français, toujours oublié.


On se souvient du projet, lancé (et abandonné) par le ministre Éric Besson en 2009, de soumettre les demandeurs au titre du regroupement familial un test ADN. Il souleva une tempête médiatique et verbale d'une violence extrême. On y jeta en vrac les mots de purification de la race, de néo-pétainisme, de science asservie à la xénophobie, d’eugénisme, de pratique nazi et de Statut des juifs, etc. Personne du côté du gouvernement n'a rappelé avec fermeté que les démocraties les plus renommées au monde imposent ses tests : la Grande-Bretagne, les États-Unis, le Canada.


La méthode est simple : il suffit d'obtenir auprès d’une mairie un certificat de naissance qui correspond à quelqu'un d’âge et d'apparence semblables à la sienne. Ainsi, beaucoup d'Africains demande un certificat de naissance en Guyane, puis, l’ayant obtenu, prétendent victorieusement au titre d'identité correspondant. C'est devenu la bretelle d'accès la plus rapide à l'autoroute de la nationalité française…


En France, toute personne qui se présente dans une préfecture pour solliciter son admission provisoire au séjour au titre de l'asile doit faire relever ses empreintes digitales sur une borne électronique. Or en 2011, selon l'Ofpra, « près du tiers des premières demandes en procédure prioritaire (24,3%) émane de ressortissants de pays de la corne de l'Afrique ayant volontairement mutilé l'extrémité de leurs doigts dans le but de rendre la lecture de leurs empreintes digitales inexploitable ».


Mais le ver était dans la loi elle-même et les juristes spécialisés n’allaient pas tarder à le découvrir. Elle stipulait en effet que ces dispositions s'appliquent si le demandeur d'asile fournit de fausses informations ou en dissimule « afin d' induire en erreur les autorités ». L'altération des empreintes digitales doit avoir été effectuée volontairement.


(…) À Roubaix par exemple, sur les 25 boucheries que compte la ville, toutes ou presque sont halal (…) Ce mode d'abattage est contraire au mode traditionnel et réglementaire d'abattage en France, les règles françaises de protection de l'animal prévoyant l'étourdissement préalable avant l’égorgement.


Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? L'opinion de Charles de Foucauld : « Exceptionnellement, oui. D'une manière générale, non (…) tout musulman (je ne parle pas de libres-penseurs qui ont perdu la foi) croit qu'à l'approche du jugement dernier le Mahdi surviendra, déclarera la guerre sainte, elle établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminer le subjugué de tout le monde également (…) D'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Mahdi, en lequel ils soumettront la France. » (Charles de Foucauld, lettre adressée à René Bazin, octobre 1917)


1492, la Reconquista s’achève lorsque les rois catholiques Ferdinand II d’Aragon et Isabelle de Castille chassent de Grenade le dernier souverain musulman de la péninsule et achève l'unification de l'actuelle Espagne. Mais c'est seulement en septembre 1609 que le roi Philippe III d'Espagne promulgue l'expulsion des derniers morisques, descendants des populations musulmanes non converties (ou mal converties) au christianisme malgré le décret des rois catholiques qui l’exigeait depuis 1502. 400 000 morisques (sur une population espagnole totale de 8,5 millions d'habitants) sont acheminé par bateau de l'autre côté de la Méditerranée sans que personne, y compris eux-mêmes, juge la manœuvre impensable.


(…) la grande victoire de Lépante en 1571 : la puissante marine ottomane baissait pavillon devant une flotte chrétienne composée d’escadres vénitienne, espagnole, génoise, pontificale, maltaise et savoyarde réunies sous le nom de Sainte Ligue à l'initiative du pape Pie V. Les Turcs perdaient 30 000 hommes et une grande partie de leurs vaisseaux. C'était un coup d'arrêt à l'expansionnisme ottoman vers la Méditerranée occidentale.


(…) le traité de Lausanne en 1923: un million et demi de Grecs quittent l'Asie Mineure dans laquelle leurs ancêtres vivaient depuis trois mille ans, tandis que 300 000 autres sont convertis de force à l'islam. Les Turcs, quant à eux, quitte la région de Salonique en Grèce, qu’ils avaient déjà commencé à fuir depuis la première guerre des Balkans, ainsi qu'une partie des îles qu'ils occupaient. Beaucoup plus tard, en 1974, lecture, soutenu en sous-main par l'OTAN, débarqueront leurs troupes à Chypre pourrait réduire au maximum l'espace sur la population grecque.


(…) les Allemands qui se trouvaient dans certains territoires devenus ou redevenus polonais (Silésie) ou tchèques (monts Sudètes) sont expulsé à la fin de la guerre, alors que leurs ancêtres y vivaient depuis des centaines d'années. Même chose en Prusse orientale devenue russe, où la ville natale de Kant, Königsberg, se nomme aujourd'hui Kaliningrad. Ces expulsions ont été organisées par les puissances victorieuses de la seconde guerre mondiale sous le parapluie idéologique des droits de l'homme, ce qui explique qu’aucune grande voix politiquement correcte n'a pensé à les attaquer.


(…) Le code noir reconnaissait notamment le statut de « personne » aux esclaves. Cela peut évidemment paraître insuffisant aujourd'hui, mais c'était un progrès considérable dans le contexte de l'époque. Il faut également noter que toutes les civilisations ont pratiqué l'esclavage, mais que seule la civilisation européenne est connue pour l'avoir aboli !


Comment accepter que les officiels saoudiens participent à une cérémonie militaire française avec leurs femmes en burka, alors que les femmes européennes sont obligées de porter le voile dans les pays du Golfe ?


La liberté d'expression (…) est aujourd'hui bafouée, depuis que le délit d’opinion a été rétabli par la loi Pleven de 1972 (…) l'abrogation des lois liberticides : la loi Pleven de 1972, la loi Gayssot de 1989, la première loi Taubira sur l'esclavage de 2001, la loi Lellouche (2002) et la loi Perben (2004).


Prendre des positions politiques fait évidemment partie de la liberté des associations. À condition cependant qu'elles ne reçoivent pas de subventions publiques, car cela fausse les règles de financement politique.


(…) la préférence nationale de mœurs la première des digues à édifier contre migration.


« Voulez-vous que les peuples soient vertueux ? Commençons par leur faire aimer la patrie. Mais comment le pourrions-nous, comment le feraient-ils si elle n'est rien de plus pour eux que pour les étrangers et qu'elle ne leur accorde que ce qu’elle ne peut refuser à personne ? » (Jean-Jacques Rousseau, L’Encyclopédie)


La préférence nationale reste plus que jamais nécessaire. Toutefois, compte tenu de l'africanisation et de l'islamisation de la France, elle doit être aujourd'hui complétée par la notion de préférence de civilisation.


En cas de crise (comme en 2008), les États-Unis réduisent le nombre de cartes vertes accordées aux travailleurs étrangers pour réserver l'emploi à leurs nationaux, et les étrangers qui s’en trouvent privés rentrent chez eux, sans haine et sans discussion.


Il ne faut pas chercher d’abord des solutions techniques, mais des solutions spirituelles. Il ne faut pas se perdre dans les détails mécaniques, mais s’élever à la hauteur du mythe. D'abord savoir qui l’on est, afin de mettre en œuvre la préférence de civilisation. Non que les autres civilisations soit méprisables. Mais elles sont autres. Elles ne sont pas nôtres.

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