La haine tranquille couvrait son visage, armé d’audace, d’un masque de lave éteinte.
Mais les pleurs de Vellini ne tombaient point comme ceux d’une autre femme. C’étaient des larmes fières qui roulaient longtemps dans les cils, puis s’en allaient mourir silencieusement, avec une majesté désolée, vers les coins abaissés des lèvres tremblantes.
… et comme toujours, avec nous autres femmes, jeunes ou vieilles, l’audace a réussi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire