Le drame de notre profession, c’est qu’elle attire des gens qui sont eux-mêmes un peu fragiles, un peu blessés. Une fois qu’ils sont dedans, ils ont l’impression d’être encadrés par des murs solides et rassurants, et l’aspect « pratique », l’aspect « clinique » de notre travail, leur permet de compenser leurs propres faiblesses. Ils finissent par gagner un combat sans avoir combattu. Pour vous, Franz, c’est exactement le contraire. Vous êtes un bon psychiatre parce qu’avant même votre naissance le destin vous a choisi pour ça.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire