C’est toujours le même tunnel dans lequel on s’avance, le tunnel du manque. (…) L’abîme de notre pauvreté est ouverture à Dieu, car Dieu ne peut entrer que dans le vide. Dieu est appelé par notre vide et s’y engouffre. Dieu, le Tout-Puissant, s’est lui-même fait pauvre et faible. La pauvreté, c’est le point de ralliement entre Dieu et nous.
Certes, il est des vies plus ou moins réussies selon le seul critère qui vaille, leur poids d’amour. Mais, selon ce même critère et quelles que soient les apparences, aucune vie n’est un échec et aucune n’est en soi une victoire.
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