(…) la proportion d’Anges dans les visions de pré-mort est équivalente à celles des NDE : entre 4 et 8 cas sur 100 (…) En fait l’Ange semble plutôt se manifester lorsque le sujet n’a pas de proches précédemment décédés pour venir le chercher !
« Je suis sûre de Lui avoir posé cette question qui me torturait depuis mon enfance à propos de la souffrance de mon peuple. Je me souviens de cela, de la réponse : il y a une raison pour TOUT ce qui arrive, même si cela paraît affreux dans le monde physique. » (Beverly)
« J’ai réalisé alors que j’avais vécu toute ma vie en réaction contre mon père, que ma vie ne me plaisait pas. En même temps, j’avais le sentiment qu’aller vers cette lumière, c’était aller vers la lumière de Dieu et je ne me sentais pas prêt, tel que j’étais à me présenter devant Dieu. Lui était pour moi, prêt à m’accepter sans aucun grief. Mais moi, je ne voulais pas y aller comme ça. J’avais le sentiment que tout ce que l’on faisait ici sur cette terre n’avait aucune importance en égard à cet amour, à cette compassion. Pourtant je ne me sentais pas satisfait parce que j’avais le sentiment d’avoir promis de faire quelque chose de ma vie que je n’avais pas réalisé ». (Léonard Spade)
(…) le sujet ressent un changement profond, une joie comme s’il avait soudain retrouvé un morceau manquant de lui-même…
« Au début (…) les Anges jouaient avec moi. Je me retrouvais dans des synchronicités extraordinaires. Puis progressivement cela a changé et je me suis rendu compte que lorsqu’on a découvert leur puissance et qu’on s’attache à eux, ils ne jouent plus, parce que cela devient très sérieux (…) ils vous font comprendre que vous devez totalement vous abandonner à Sa volonté. Et c’est là que joue votre libre arbitre, ça passe ou ça casse. Au début les Anges vous donnent tout ce que vous leur demandez. Après ils commencent à vous donner des leçons pour approfondir votre compréhension » (Terry Lynn Taylor , “The Messengers of the Light”)
« Serait-ce une âme sœur ? Il semblerait. De toute manière, il est certain que les soins, la sollicitude, l’amour de cet être céleste, surpassent ceux de la plus douce des mères. » (« Padre Pio : voici l’heure des Anges »)
« (…) à notre mort, il nous sera rendu compte de chacune de nos pensées, de chacune de nos pensées, de chacune de nos paroles et de chacun de nos gestes, car tout a une conséquence. Lorsque vous serez dans la Lumière, vous devrez rendre compte de tout, y compris de tous vos choix. Chaque personne est entièrement responsable. Tout ce que l’Église devrait enseigner est que vous êtes responsable de tout, absolument tout. »
La souffrance, c’est comme le Grand Canyon. Si vous dites « c’est tellement beau, il faut le protégez du vent et de la tempête », jamais il n’aurait pu être sculpté par le vent et jamais vous n’auriez pu apprécier sa beauté
De toute façon, on connaît notre Ange gardien avant de naître, simplement on oublie tout à la simplement on oublie tout à la naissance. Votre tâche est de trouver la raison pour laquelle vous êtes venu sur terre »
Je ne crois pas aux coïncidences. Tout, absolument tout possède un sens, une raison.
- Quelle est la raison d’être de cette existence ?
-Souffrir, parce que cela aide à grandir, à progresser vers la Lumière, pour être comme le Christ. La seule chose qui compte dans la vie, c’est l’amour. La peur vous aide à survivre. » (Elisabeth Kübler-Ross)
(…) rien n’est déterminé (…) mais en même temps, Il voit tout et sait à l’avance ce que nous allons faire, quelles décisions nous allons prendre.
(…) les très grandes lignes de notre vie semblent bien être tracées – prédestination - à l’avance alors que la vie de chaque jour ne dépend que du libre arbitre et, semble-t-il de la vie spirituelle du sujet.
« (…) rien n’est totalement fixé (…) tout dépend de la façon dont nous utilisons notre libre arbitre (…) même les évènements prédestinés peuvent être changés ou modifiés uniquement par notre réaction vis-à-vis de ces événements. » (Margot Grey, in « Return from Death »)
« Les hommes ne pensent pas assez à la puissance de Dieu et comptent beaucoup trop sur leurs propres forces » (Thérèse Newmann, in « Stigmatisés et apparitions » de Pascal Sanchez Ventuaz)
« Les Anges ne peuvent pas décider eux-mêmes, c’est le Père qui les commande et qui leur dit que je dois passer per telle et telle épreuve. Alors ils s’inclinent et intercèdent pour que je ne succombe pas, pour que je ne me décourage pas. » (Georgette Faniel)
Gemma Galgani (…) souffrait terriblement en revivant la Passion mais elle souffrait avec plaisir parce qu’elle savait que cela calmait Ses douleurs (…) une véritable épouse du Christ se devait d’être immolée comme lui pour partager Ses souffrances dans l’immense plan de la rédemption…
« …c’est d’ordinaire sur les plus petits et pauvres d’esprit que je fais voir ma puissance avec plus d’éclat, afin qu’ils ne s’attribuent rien à eux-mêmes. » (Jésus à Marguerite-Marie Alacoque)
« (…) il ne faut pas prier les Anges seulement pour leur demander de trouver des places de parking. Il faut vraiment les mettre au travail et les remercier. Mais surtout, lors d’un entretien difficile, ne pas oublier, jamais, d’envoyer votre Ange à l’Ange gardien de votre interlocuteur. Cela évite bien des problèmes et arrange bien des situations. Et cela fonctionne toujours. » (Vassula Ryden)
« Ah ! si vous croyiez, vous vivriez davantage avec les invisibles qu’avec les visibles (…) Invite les Anges et les saints à t’accompagner (…) : vois-tu, ils sont là pour être avec toi dans toutes tes actions. Ce sont tes frères aimés. » (un Ange à Gabrielle Bossis in « Lui et moi »)
« (…) Si je demandais à mes Anges, comme à vous, d’intensifier leur amour pour moi, je ne pourrais pas les retenir » (le Christ, ibid)
« Leur miséricorde est bien grande à notre égard, et, souvent, nous ne les utilisons pas assez. Ils nous regardent comme des petits frères indigents ; leur bonne volonté à notre égard est extrême. Rien n’est fidèle comme un Ange (…) Tous ces personnages, comme le diable, sont avec nous, autour de nous. Si nous ne les voyons pas, il s’en faut de si peu ! C’est comme une pellicule qui nous sépare d’eux. » (Le père Jean-Edouard Lamy)
« L’union la plus intime de l’homme est avec les Anges, parce que cette union doit durer toujours et jusque dans l’éternité. (…) il y a entente, et cette communication, cette entente deviennent telles que l’homme finit par ressembler à l’Ange et prendre position avec lui. (…) Je veux vous parler de deux choses que produisent les Anges sur les hommes. La première, c’est l’illumination de l’intelligence, la seconde le mouvement de la volonté (…) Les Anges, ma fille, éclairent les hommes de trois manières : en leur annonçant les divins mystères, en les instruisant, en les exhortant.
(…) Ce mouvement ne ressemble pourtant pas à un mouvement, comme celui par exemple que vous communiqueriez à un objet quelconque ; non, ma fille, car la volonté demeure toujours libre, et comme libre, ni les Anges, ni Dieu ne peuvent lui donner mouvement vers le bien si elle ne veut pas. Ce mouvement est une disposition vers le bien, une aptitude, une facilité à faire le bien. A cet effet, les Anges enlèvent, font disparaître ou diminuent les obstacles qui empêcheraient la volonté et qui l’arrêteraient, et en ce sens, ils lui donnent encore le mouvement (…)
Les Anges gardiens n’ont point été seulement donnés aux hommes depuis ma venue en ce monde, mais depuis le commencement, tous les hommes ont reçu de Dieu un Ange pour veiller sur eux.
(…) L’Ange gardien éloigne de vous les maux du corps et de l’âme ; il lutte contre vos ennemis, il vous excite à faire le bien ; il porte à Dieu vos prières et inscrit sur le livre de vie vos bonnes œuvres ; il prie pour vous, il vous suit jusqu’à la mort, et vous portera dans le sein de Dieu, si vous vivez dans la justice pendant que vous serez sur terre… (Jésus, in « Vie et œuvres de soeur Marie Lataste »)
« Glorieux gardien de mon âme, (…)
Bel Ange, tu deviens mon frère !
Connaissant ma grande faiblesse
Tu me diriges par la main
Et je te vois avec tendresse
Ôter la pierre du chemin
(…) Je t’en prie, vole à ma place
Auprès de ceux qui me sont chers
De ton aile sèche les larmes
Chante combien Jésus est bon… »
(Hélène Kowalska, in « Poésies »)
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