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dimanche 7 juin 2020

"Des enfants dans la lumière de l’au-delà" de Melvin Morse (1992)

… seulement 20% de adultes sujets à la NDE déclarent avoir volontairement réintégré leur corps.

…il faut obligatoirement avoir frôlé la mort pour présenter les symptômes d’une NDE.

Sur les 121 enfants de notre groupe témoin (…) 118 avaient totalement oublié leur séjour à l’hôpital (…) en revanche, 8 de 12 enfants qui avaient failli mourir après que leur cœur se fût arrêté s’étaient visualisés hors de leur corps…

…les visions précédant la mort se manifestent en général chez les patients dont la lucidité n’est pas amoindrie par l’administration de sédatifs.

« J’ai compris que nous ne devons pas redouter la mort, commenta Michelle, la seule chose qu’il nous faut craindre, c’est de ne pas accomplir la tâche qui nous est impartie sur cette terre. »

… le culte d’Osiris tel que le pratiquaient les prêtres et les pharaons de la glorieuse civilisation égyptienne (…) une société secrète habituée à user de la suffocation pour provoquer des NDE (…) Osiris avait été le premier roi d’Égypte : il avait apporté la civilisation à ses sujets, puis était parti à l’étranger pour enseigner les arts de l’agriculture à d’autres peuples ; mais ses ennemis avaient comploté contre lui et l’avaient capturé après son retour, l’enfermant dans un coffre. Sa résurrection ultérieure avait symbolisé la vie éternelle et entrainé sa divinisation.
Tout nouveau pharaon passait pour être la réincarnation directe du dieu-roi légendaire, et une part essentielle de la cérémonie d’intronisation consistait à rejouer l’ensevelissement d’Osiris dans les profondeurs de la Grande Pyramide.

« J’essaie de m’acquitter de mes obligations terrestres sans me prendre trop au sérieux, mais j’ai l’intuition que mes actes répondent à un dessein supérieur, et je ne fais toujours une très haute idée de mes responsabilités. »

…les épisodes de tunnel décrits dans le cadre des NDE comportent un déplacement rapide vers une lumière aperçue à l’extrémité dudit tunnel ; or, au cours de la naissance, le visage de l’enfant est pressé contre la filière pelvigénitale : ses yeux n’étant pas tournés vers le col de la matrice, il ne peut rien voir du monde extérieur avant le terme de l’accouchement.

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