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jeudi 14 mai 2020

« Les Bobos américains » de Laurence Simon (2019)

Deuxième région d’immigration musulmane, vague démocrate qui a submergé la Virginie - traditionnellement conservatrice - en 2016 grâce à l’afflux de Bobos dans le nord de l’état (…) Le Nord de la Virginie explose économiquement et démographiquement : c’est devenu la Silicon Valley de la côte Est (…) Le ghetto du District figure au hit-parade des cinq plus dangereux des États-Unis.

L’addiction au tabac est une maladie de la pauvreté. Les Bobos ont cessé depuis longtemps de fumer, la ville de New York a offert des patches anti-tabac gratuits et Manhattan est une ville sans fumée, sauf pour les quelques bougres qui doivent allumer leur cigarette loin des immeubles de bureaux, même sous la neige, comme des parias.
(…) le taux de mortalité annuel dû aux maladies cardiaques est plus élevé que celui des morts par cancers.

A l’opposé de la France, le Tour de France est suivi par les jeunes ingénieurs de l’électronique de la Silicon Valley…

Parmi les pays riches, les USA ont maintenant le taux de mortalité infantile le plus haut et l’espérance de vie la plus basse.

L’Alabama a toujours été un Etat très pauvre.

Les Etats-Unis se trouvent confrontés aujourd’hui à la plus grave épidémie d’héroïne de son histoire (…) Le Président Trump a fait de la lutte contre l’héroïne une priorité nationale.

La Constitution date de 1788, quand les Pères Fondateurs d’une Amérique libre des Anglais ont réussi à la faire ratifier par une super-majorité des colonies. Ses articles ne sont pas nombreux (VII au total) et leur but premier est de définir et de limiter les attributions du pouvoir fédéral. Pour les auteurs du texte, comme pour les conservateurs d’aujourd’hui, l’ennemi est le pouvoir central, un gouvernement qui peut devenir tyrannique, il le fut sous les Anglais (…) Au texte de la Constitution, il faut ajouter ses amendements (the Bill of Rights, les droits des citoyens) et la difficulté impose par les Pères Fondateurs pour les changer ou en accepter un nouveau. Cette rigidité extrême fait la force et la faiblesse de la Constitution (…) ce qui assure à un pays composé de 50 Etats une stabilité et une unité formidables.

Au lieu d’avoir, comme avant, la liberté de posséder et de porter une arme, de s’en servir pour se défendre sur tout le territoire des Etats-Unis, chaque Etat a maintenant une législation différente. c’est constitutionnellement illégal (arguent les Républicains) et moralement indispensable (arguent les Démocrates).

Le Président Obama a au l’occasion de nommer deux Sages, deux femmes, dont l’une est d’origine hispanique et l’autre est lesbienne…

Bill Clinton a non seulement signé des traités de libre-échange fondamentaux qui ont ouvert les vannes de la globalisation à outrance. Mais sous la pression de son ami Alan Greenspan, le gourou de Wall Street, il a  aussi fait voter par le Congrès l’annulation du « Glass-Steagall Act » de 1933, passé après la Grande Dépression pour protéger les abus de la part des banques.

Alexandria Ocasio-Cortez est la passionaria de New York élue contre toute attente avec plus de 78% des voix à la Chambre des représentants en novembre 2018. Elle a battu à plate couture le sortant Démocrate (…) AOC est la plus jeune femme de l‘histoire à la Chambre des Représentants. Elle avait 29 ans en 2018. C’est une débutante qui ne connaît même pas le fonctionnement de l’Etat.

Un sondage Axios mené en janvier 2019 montre que 61% des Américains de 18 à 24 ans régissent positivement au mot « socialisme ».

L’effet du manque de vraies périodes de repos est une baisse de la productivité par rapport à la plupart des pays qui ont adopté un système raisonnable de congés payés.

L’Etat de New York et la Mairie Démocrates ultras sont endettés jusqu’au cou (…) Contrairement à ce que les touristes français voient à Manhattan et dans le Brooklyn gentrifié et branché des Bobos, l’État de New York se porte très mal.

Seul Donald Trump a fait drastiquement baisser le prix de prescriptions en signant en octobre 2018 deux lois qui punissent les pharmaciens et les vendeurs des laboratoires se livrant à des ententes sur le prix exorbitant de médicament vendus dix fois moins cher dans d’autres pays.

(…) l’université Georges Washington (…) est l’université la plus chère des Etats-Unis.

Le Président des États-Unis de 2008 à 2016 a tété le socialisme au sein de sa mère, une militante d’extrême-gauche très convaincue et très active (…) Frank Marshall Davis, un communiste afro-américain pur et dur, membre du CPUSA, a été le mentor du jeune Barak Obama (…) Certains des membres du CPUSA avaient infiltré le gouvernement et les rouages de l’État pour espionner au profit de l’URSS (…) C’était aussi l’époque où Saul Alinsky faisait fureur sur les campus. Ni Hillary Clinton, ni Barak Obama n’ont échappé à l’influence de ce marxiste qui professait les idées de division d’Antonio Gramsci, comme de la pornographie comme moyen de diviser une Amérique pudibonde.

« Les Etats-Unis ont été créés par des Etats Souverains. Lorsqu’ils ont décidé de se doter d’un gouvernement central, ils craignaient qu’il ne soit trop fort et qu’il ne domine les Etats. Pour prévenir ce danger, les Etats sont convenus de créer le Collège Electoral, afin de faire de l’élection du Président une élection par les États » (Western Jounral, 16/10/2018).

Politico, quotidien politique de Washington de gauche, a publié l’enquête extraordinaire de Robert Epstein qui révèle que l’algorithme de Google aurait apporté à la candidature Clinton jusqu’à 15 millions de voix. Impossible en effet et par exemple en 2015 (puis 2016) de faire une recherche avec le seul nom de Donald Trump, sans tomber dans les premières pages de Google sur les sites d’Hillary qui le critiquent, sur des articles qui le vilipendent, sur des blogs de gauche qui le clouent au pilori.

(…) tandis que le typhus règne sous les ponts de L.A., le prix des prix de propriétés monte en flèche. Un californien sur cinq vit en dessous du seuil de pauvreté.

Gramsci, italien communiste critique (1891-1937) est le père de « L’Hégémonie Culturelle » dont le but avoué est la destruction de la société occidentale, mais qui doit se passer de la classe ouvrière et être atteint grâce aux intellectuels (…) Gramsci est l’ami et l’admirateur d’un homme clef : Georg Lukacs, Ministre adjoint à la culture sous l’éphémère gouvernement bolchevik hongrois de 1919 (…) Avec ses émules, il va fonder en 1923 l’école de Francfort (…) Avec l’arrivée d’Hitler, beaucoup de professeurs et d’élèves de l’Ecole de Francfort doivent émigrer et nombreux sont ceux qui sont accueillis à bras ouverts à Columbia, la prestigieuse université de New York dès les années 1930, puis sur la côte ouest des Etats-Unis. Parmi eux, Herbert Marcuse (…) Herbert Marcuse va étayer et étendre la théorie de Gramsci et de Lukacs, l’enrichi si l’on pet dire avec « La Tolérance Répressive » publiée en 1965 aux Etats-Unis.

Ce sont les bases de ce que Gramsci et Lukacs ont appelé « La Grande Marche vers les Institutions ». Les moyens sont :
- La honte. Il faut rendre ses ennemis honteux de penser autrement. Le Politically Correct.
- Le ridicule. Salir la réputation des opposants (…)
- Le révisionnisme historique par la réécriture de l’histoire.

(…) les fascistes (de fasci, les faisceaux romains) sont une invention du très socialiste Benito Mussolini (…) la fascination du Président Démocrate Roosevelt pour le fascisme et pour Hitler, auquel le Président Démocrate avait rendu hommage à maintes reprises, et réciproquement.

Il y a plus de 3 450 000 musulmans aux Etats-Unis.

Les radicaux font la loi sur le campus d’Harvard, et dès 2008, des militantes islamistes ont obtenu des heures réservées aux femmes dans les salles de gymnastique. Université privée, Harvard n’est pas non plus insensible aux charmes des donations.

Se défendre devant les cours de Justice américaines coûte beaucoup d’argent (…) CAIR (Council of Islamic-American Relationship) inonde dons les tribunaux américains de poursuites, et les quelques personnes qui osent se mettre en travers du chemin des extrémistes sont en danger : les avocats son l’une des armes favorites de CAIR qui connaît le système démocratique et judiciaire américain sur le bout des doigts. (…) Wolf déclare détenir aussi des informations sur le voyage des représentants du CAIR au Soudan, dans le but de recevoir de l’argent de la part du Président Omar Hassan Bachir, un criminel de guerre dénoncé par la communauté internationale.

Ancien officier du corps des Marines, il met tout en œuvre pour mener à bien ses missions. Il a donc démontré au Bureau comment les islamistes en particulier les Frères Musulmans, phagocytaient les rouages démocratique locaux et fédéraux (…) Lorsqu’il a remis son projet aux personnes en charge du contre-terrorisme, « on ma donné une tape dans le dos et on m’a dit de ne pas recommencer. Dans le foulée, on m’a dit que le congé que j’avais pris pour le projet avait gravement nui à mon évaluation (annuelle), et ils m’ont massacré. »

Costaud, brun, un nez de boxeur, Guandolo s’attache toujours et encore à démontrer que l’infiltration islamiste aux Etats-Unis est mille fois plus importante qu’on ne le sait, ou qu’on veut le faire croire (…) Le FBI recrute parfois des agents parmi ces mêmes entités, comme au sein de la Société Islamique d’Amérique du Nord (ISNA) (…) une organisation que Guandolo a décrite comme parrainée et dirigée par les Frères musulmans (…) Lorsqu’il était directeur du FBI, James Brien Comey Jr. a remis un prix à un certain Mohammed Magid, imam de la mosquée de Sterling, en Virginie du nord, et ancien président de l’ISNA (…) Mohamed Magid est le fils du Grand Mufti du Soudan (…) Le rôle de Mr Magid ? Former et conseiller le personnel qui travaille avec le FBI et diverses agences nationales. Selon ses dires « l’administration Obama a créé un comité rassemblant des arabes, des sikhs, des musulmans pour traiter du problème du terrorisme, et comment travailler avec les forces de l’ordre (et les agences de l’Etat) et la Communauté musulmane » (février 2019) (…) On le voit en photo avec le Président Obama, on lit son portrait dans Time magazine et le Huffington Post, il signe dans le Washington Post et le Wall Street Journal. Cela va de pair avec ses ménages de consultant quasi permanent sur les chaînes d’information continue comme MSNBC  ou CNN. Il les convainc que le terme de djihad n’est pas guerre sainte, et grâce à lui, le groupe de lutte contre les violences extrémistes ne va plus pouvoir invoquer des lois ou traditions de l’Islam comme pouvant constituer des raisons à l’origine d’actions terroristes (…) Il leur narre une histoire édulcorée pour petits enfants, et il va définir toutes les critiques contre sa religion comme racistes et haineuses (…) il va aussi obtenir que les mesures additionnelles de sécurité et les inspections instaurées en 2009 dans les aéroports sur les passagers voyageant en pays musulmans soient arrêtées (…) En 2012, il aurait fait effacer 700 documents, et 300 présentations de ses formations sont expurgées de la mémoire des ordinateurs fédéraux.

Les politiciens recherchent une seule voix. Les élus, les agences et les institutions chargés d’appliquer la loi américaine comprennent un message simple. Ils prennent CAIR pour ce que CAIR veut apparaître. C’est vrai, aucun groupe ne peut représenter toutes les tendances de l’Islam, mais les politiciens prennent les musulmans comme une communauté au singulier.

« Nous avons une base d’informations qui montre combien les organisations islamistes comme CAIR sont des donateurs pour les campagnes des politiciens. » (Le directeur d’Islamic Watch) Dont celle de Barak Obama en 2008.

Un excellent exemple de l’infiltration du système politique est « La Journée des Musulmans » au Congrès de Washington. Le lobby extrémiste organise chaque année au printemps des rencontres entre les législateurs et les représentants de CAIR.

« Une étude montre que 78% des électeurs musulmans ont choisir les démocrates, et 17% les Républicains. » (communiqué de presse de CAIR)

Ilhan Omar est une réfugiée somalienne qui porte le voile. Depuis 181 ans, personne n’avait le droit de se couvrir la tête lors des séances à la Chambre des Représentants. Mais Madame Omar a eu un passe-droit (…) Quant à Rashia Tlaib, sa première déclaration de Représentante s’adresse au Président en exercice, et elle est fleurie et distinguée : « We will impeach the motherfucker ». Ilhan Omar siège au Comité des Affaires Etrangères de la Chambre. Cela signifie qu’aujourd’hui elle a accès aux documents ultraconfidentiels sur la politique des Etats-Unis dans le monde, la Sécurité nationale et la Défense du pays.

Les Etats-Unis, avec un système électoral qui rend les candidats dépendants de l’argent des autres pour survivre, sont bien mieux contrôlés de l’intérieur par l’extrémisme musulman.

La vraie résistance consiste aujourd’hui à défendre des opinions divergeant de celles du nouvel ordre moral (…) Sur les campus et les amphis, on a dépassé le stade de l’intimidation pour atteindre celui de la terreur organisée (…) En juillet 2019, l’université ultra-progressiste de Berkeley a voté « la purge des genres dans tous les livres de droit. »

« Surtout sur la côte ouest. Les étudiants pensent tous de la même façon. La politique ne fait même pas, comme ici dans la région de D.C., partie des discussions. Personne n’écoute les infos, les étudiants sont déconnectés, et ignorants de la chose publique. Tu dois être Démocrate ou rien. » (Gabriella Castillo, 22 ans, un an à l’Université de San Francisco, California).

Ils appréhendent le monde à travers le seul prisme des réseaux sociaux. A la paresse intellectuelle et à la naïveté des sondés, il faut ajouter la peur d’être mal jugé si l’on émet des opinions contraire, ou l’on se montre trop curieux.

« Les étudiants américains et les valeurs américains sont assiégés » a dit Donald Trump le 22 mars 2019, en signant un décret présidentiel pour « promouvoir la liberté d’expression sur les campus universitaires. »

10 millions ont été alloués par l’Institut National de la Santé au centre de recherches sur les sexes de Penn U, pour financer un projet intitulé : « Élasticité et couleur de la peau : Comprendre les Disparités des Assauts Sexuels »

La liste est longue, très longue, des conférenciers de droite « désinvités » par les facs sous la pression morale ou physique des étudiants et du corps professoral.

La Trinity College, dans le Connecticut, a désinvité le rappeur Action Bronson après qu’une pétition a circulé pour expliquer que sa venue créait « un espace psychologiquement blessant et terriblement peu sûr pour les femmes, la communauté LGBTQIA, les étudiants et les victimes de violences sexuelles. » Bronson n’est pas un ange et ses vidéos sont écœurants, notamment pour la façon dont il traite les femmes. Mais personne n’oblige ceux et celles qui ne l’aiment pas à aller l’écouter. Les étudiants chrétiens n’ont pas manifesté contre le show de Bronson. Mais c’est un exemple frappant de la « génération traumatisme ». Pour le Bobo, biberonné au sein des psychologues, tout est traumatique.

Berkeley a reçu plus de 18,5 millions de dollars sos forme de contrats de la part de l’Arabie Saoudite entre 2012 et 2018. L’Arabie Saoudite fait porter ses efforts sur des facultés spécialisées en sciences humaines et sociales, et surtout en science politique et en droit. Georgetown University, à Washington, D.C., qui forme depuis des  siècles bon nombre de personnages importants des Etats-Unis, avocats et politiciens en tête, a reçu 71 millions de dollars de l’Arabie Saoudite entre 2012 et 2018. 
Le Qatar s’est montrée encore plus généreux à l’égard de Georgetown, université fondée par les Jésuites, avec 310 millions de dollars en l’espace de 6 ans. Ces chiffres sont fournis par le Ministère américain de l’Education.

Un enseignant traite de trou du cul un étudiant qui porte une casquette MAGA (Make America Great Again) et l’accuse de… provocation (…) Le T-shirt du Che fait partie de l’arsenal du parfait étudiant Bobo qui ne connaît ni le maquis africain, ni les idées du guérilléro communiste et ses conséquences sur la fortune de parents qui payent des dizaines de milliers de dollars par an pour que leur progéniture soit endoctrinée.
Après la bataille contre « le mur » et pour l’entrée en masse d’illégaux, un groupe anarchiste de Texas State University a déclaré que « tous les flics méritent de mourir ». Personne n’a sourcillé. Bien sûr le groupe est pro-palestinien…

A Georgetown University, fin septembre 2018 le professeur Carol C. Fair souhaitait publiquement aux Républicains qui voteraient pour Brett Kavanaugh « de mourir horriblement, d’être castrés et jetés aux cochons. » Elle n’est pas professeur de poésie, mais de cyber-sécurité.

A l’Université du Maine, Susans Feiner a offert des unités de valeur à ceux qui prendraient le bus pour aller manifester contre Kavanaugh à Washington (…) Ce sont donc souvent les professeurs qui donnent le ton (…) Comme en Europe, les idées socialistes ont fait leur chemin depuis les années 1950…

« Aujourd’hui, les réponses à choix multiples et la mathématisation des tests rend impossible à certains élèves de réussir. Alors qu’ils excellent dans des matières qui autorisent une dissertation, au moins un développement, ils ne comprennent pas pourquoi on leur pose des questions stupides, et cela les énerve (…) Le but [du nouveau programme de Betsy Devos, la Ministre de l’Education du Président Trump] est de remplacer les professeurs par les ordinateurs. Or, qui dirige le projet des programmes scolaires informatisés ? Google, Microsoft, et de grandes compagnies qui ont tout intérêt à former des générations de gens qui pensent tous de la même façon (…) Ces compagnies ont signé un partenariat avec l’Unesco, agence qui dépend de l’ONU. On connaît leurs opinions politiques. Là dessus, l’Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE) a mis en place un système international de contrôle des connaissance. C’est la mondialisation, l’uniformisation du savoir tel que comme compris par l’ONU (…) l’éducation est devenus une produit à acheter et à vendre. La ministre de l’Education met en place un système ultra-capitaliste de joint-venture de mondialisation digitale (…) en janvier 2019, le gouvernement Trump a fait passer une loi qui permet à toutes les agences fédérales d’avoir accès au dossier des élèves qui ont passé des tests. Cela veut dire : plus aucune protection de la vie privée, mais aussi la possibilité de savoir si l’enfant ou l’adolescent a eu des problèmes psychologiques ou psychiatriques. »
(Alice Nihan, qui se bat pour conserver le droit d’éduquer ses enfants à la maison, et contre l’uniformisation des programmes).

Parmi ceux qui soutiennent et financent l’initiative de l’OCDE de l’ONU, on trouve George Soros.

Le Pulitzer est devenu - au même titre que le Prix Nobel - une récompense politique (…) une clique de bobos se congratule et tombe dans les bras les uns des autres à l’Université de Columbia, New York, où a bien sûr lieu la remise des prix.

Le New Yorker a toujours été très à gauche, c’est même le vaisseau amiral du Boboisme américain. C’est une caste qui, pour être de New York, riche et très connectée, a une aversion particulière pour un autre New Yorkais riche et connecté mais qui n’est pas du même monde : Trump-le-clinquant, qui ne s’encombre pas d’idées compliquées et des raisonnements tortueux (…) Dans son numéro d’avril 2018, le New Yorker tombe très bas. La une de ce magazine d’une centaine de pages cadre de très près le visage du Président riant de toutes ses dents, l’affuble d’un énorme groin poilu de porc, et travaille la photo de façon à rendre le tout rose à point (…) Le titre du New Yorker est à l’avenant  « It’s the Corruption, Stupid ! » accuse le Président de faits que personne n’a pu prouver.

A l’opposé du « trendy », à l’opposé de la mode des grandes villes Bobos, et dans le silence se dessin pourtant (pour parler ainsi) un renouveau de la peinture de facture classique en Amérique. On en parle peu, mais certains esprits avertis et impartiaux du monde de l’art ont remarqué qu’un mouvement culturel avait commencé il y a une dizaine d’années dans les écoles de peinture. Elles enseignent à nouveau les techniques classiques de dessin, de peinture, et de sculpture. Cela donne des résultats intéressant, entre l’école naturaliste française d’Odilon Redon (les Préraphaélistes anglo-saxons) et le réalisme.

Celui qui se cache le moins d’être un inconditionnel du Président (…) est James Woods. Sa dernière apparition à l’écran date de 2017. Depuis, il fait des voix-off pour des séries et des films animés. L’agent de James Woods, Ken Kaplan, va d’ailleurs le lâcher en juillet 2018, en l’avertissant juste par email (…) Le reste des acteurs et des metteurs en scène de droite demeurent silencieux, sauf, - discrètement - Clint Eastwood, qui a toujours été conservateur. C’est le cas de Denzel Washington, Tim Allen, Robert Duvall, Gene Hackman, Tom Hanks, Jon Voight, Tommy Lee Jones, Vince Vaughn, Adam Sandler, Silvester Stallone, Bruce Willis, Britney Spears, Cindy Crawford, Tom Selleck, Mickey Rourke ou David Lynch.

(…) les lois sur les armes sont devenus différentes dans chaque Etat au fil du temps. C’est un fait, même si c’est parfaitement anticonstitutionnel (…) « En Virginie , l’ancien gouverneur Démocrate MacAuliffe a fait passer une loi qui interdit le port des armes à feu dans les lieux de culte.Grâce à vos amis Démocrates et à leurs propositions de loi, on peut se faire massacrer pendant al messe, le shabbat, ou le vendredi de prière sans répliquer. » (…) « Chicago, avec Baltimore, est la ville la plus criminogène des Etats-Unis. Les armes à feu y sont interdites. Curieusement, dans des écoles où vous n’irez jamais, Alice, où les flics ne vont plus, les enfants s’entre-tuent. » (…) En France, le taux de suicide est supérieur à celui des Etats-Unis. Les Français n’ont pas d’armes à feu. Au Japon, il y a 70 suicides par jour.

La réaction de la mairesse est la cerise sur le gâteau. A court d’argument pour se protéger des deux côtés (forces de l’ordre et manifestants), Stéphanie Rawling-Blake avoue qu’elle a ménagé la chèvre et le chou avec le succès qu’on connaît. Elle lâche cette phrase au milieu d’une explication emberlificotée à la presse : « C’est un exercice d’équilibre très difficile (…) Nous avons aussi essayé de donner la possibilité à ceux qui désiraient détruire de le faire. » Élue à la tête d’un des conseils municipaux les plus corrompus des Etats, Unis, Mme Rawling-Blake n’a pas fait mieux que ses prédécesseurs (…) Enfin le calme est rétabli grâce à l’alliance provisoire des trois gangs de Baltimore les plus sanglants. « La Black Guerilla Family », « les Bloods » et les « Crips » ont  provisoirement mis en commun leurs efforts de persuasion pour faire respecter le couvre-feu et détourner les pilleurs de commerces tenus par des noirs pour les diriger sur des boutiques tenues par des Coréens, des Chinois et des arabes. Trop de jours d’émeutes, ce n’est pas bon pour le business de la drogue et de la prostitution. Or, qui est en charge dans cette ville où ont eu lieu les pires émeutes raciales en 23 ans ? Les dernières s’étaient déroulées à Los Angeles à la suite du passage à tabac de Rodney King. Etrangement, des noirs. A Mme Rawling-Blake a succédé Mme Pugh, noire, elle aussi. En mai 2019, Catherine Pugh est poussé à la démission à la suite d’un scandale retentissant qui montre qu’elle est corrompue. Le chef du département de l’éducation est noir. Les membres du conseil municipal sont aux deux-tiers noirs. Le chef de la police est noir, ainsi qu’une majorité de ses agents. Trois des six agents de police impliqués dans la mort de Freddie Gray sont noirs. Et sans m’avancer pour les policiers (qui doivent leur avancement aux politiques), tous ou presque sont Démocrates.

C’est un fait avéré aux Etats-Unis : la plupart des flics tirent d’abord et posent des questions après. Le gouvernement Obama a participé à la montée de cette violence en offrant aux forces de police les équipements militaires (camions, tenues, armes) rapatriés d’Irak.

Cela paraît idiot, mais les policiers ne sont presque pas formés au tir. Ils perdent vite leur calme et défouraillent sur tout ce qui bouge. Ce qui explique pourquoi ils vident le plus souvent leur chargeur sans viser correctement, en espérant qu’un des balles fera l’affaire. Or, c’est exactement le contraire de ce que l’on apprend dans le Corps des Marines…

« Ma famille est du Sud-Est de Washington, D.C. Je suis le seul à avoir réussi socialement. Ils me jetaient des insultes à la figure : tu parles comme un blanc, tu manges comme un blanc, tu travailles comme un blanc, et tu vis au milieu d’eux : tu es un Bounty. Quand ils ont compris que je refusais de faire vivre mes cousins, mes nièces, mes tantes et mes frères et une sœur dont j’ignorais l’existence, ils m’ont renié. » 

En 1987, Al Sharpton prend la défense d’une jeune femme qui dit avoir été violée et kidnappée par un groupe de blancs, à New York. Le récit de Tawana Brawley (…) se révèle un montage total (…) Mais Al Sharpton va la défendre coûte que coûte, et jouer la carte du racisme (…) En 1989, Sharpton est reconnu coupable d’évasion fiscale et de vol (…) En 2009, le Révérend Sharpton est condamné (…) à payer une amende de 285 000 dollars après qu’il ait reçu des donations de centaines de milliers de dollars par des particuliers et des entreprises privées pour financer une chaîne bidon « National Action Network » qui sert de couverture au financement de sa campagne électorale de 2004, alors qu’il est candidat à la primaire démocrate à la présidence des Etats-Unis. En 2014, le New York Times l’accuse de devoir quatre millions et demi de dollars en impôts impayés pour une entreprise qu’il dirige. Malgré ce pedigree, le Révérend Baptiste Shartpon va devenir conseiller à la Maison Blanche du Président Obama, et après avoir perdu 50 kilos, se pavane sur MSNBC, la chaîne la plus à gauche de tout l’échiquier télévisuel qui n’en manque pourtant pas, semant des discours haineux et des propos racistes contre les blancs, toujours accusés d’être des méchants.

« Le parti Républicain est né avec un seul objectif : la suppression de l’esclavage » (Carol Swain) Celle qui parle alors n’était rien moins qu’un professeur de sciences politiques à l’université de droit Vanderbilt (Tennessee) jusqu’en 2017, l’une des meilleures facultés de droit du pays que certains étudiants préfèrent à Harvard lorsqu’ils en ont le choix (…) elle explique que le Ku Klux Klan a été fondé par le général sudiste Nathan Bedford Forrest, délégué du parti démocrate, après la Guerre de Sécession (…) Donc les Démocrates sont historiquement le parti du racisme. Un parti qui va interdire le port d’armes aux noirs, qui va recevoir le Ku Klux Klan à la Maison Blanche (sous Wildrow Wilson) (…) En 1924, des dizaines de milliers de membres du Klan se rendent à la convention Démocrate. Quant à Roosevelt, qui ne pouvait obtenir assez de voix pour faire passer son « New Deal » tant encensé par la gauche, il fera appel aux extrémistes Démocrates du Congrès en leur promettant en l’échange de leurs votes de ne passer aucune législation contre le lynchage.

Trump doit d’être à la Maison Blanche à une solide minorité d’électeurs noirs qui a déserté le parti Démocrate (…) Mais quand Hillary fait campagne chez les noirs du sud des Etats-Unis, elle affecte un accent de femme de couleur du Mississipi. Alexandria Ocasio-Cortez fait d’ailleurs la même chose. Pour se mettre « à leur niveau ». C’est non seulement grotesque, mais insultant.

(…) la politique d’arrestations faites à tour de bras et de lourdes peines d’emprisonnement sans remise de peine est le bébé des Clinton. Cette incarcération massive est devenue galopante après le vote du « projet de loi sur le crime » de Bill Clinton en 1994 (…) Hillary Clinton a un adjectif pour désigner cette jeunesse incarcérée : « super-prédateurs ». A l’opposé, la gauche va crier au scandale et dénoncer le côté inhumain du Président Trump quand il parlera des membres des gangs sanglants en les qualifiant d’ « animaux ».

Les noirs représentent en gros 13% de la population américaine, et commettent 50% des crimes qui sont, en très grande majorité, perpétrés par des hommes jeunes (…) les document du FBI montrent qu’entre 1980 et 2008, 93% des homicides contre des noirs ont été commis par des noirs (…) En 2015, un policier était 18,5 fois plus susceptible d’être tué par un noir que de tuer un noir désarmé.

Selon un étude du Pew Research Center, Washington détenait le record de meurtres per capita aux Etats-Unis entre 1985 et 2012, ce qui vaudra à la capitale américaine le titre de « capitale du crime » (…) Le racisme à l’envers est aujourd’hui l’une des plaies de la capitale américaine.

Chicago, Illinois. La ville la plus dangereuse des États-Unis per capita avec Baltimore (…) Le maire, Rahm Emanuel, l’ancien chef de Cabinet du Président Obama n’a pris la décision de multiplier les patrouilles de police qu’en janvier 2017, juste après le tweet de Donal Trump menaçant d’envoyer les fédéraux à Chicago, où des écoliers se tirent dessus à balles réelles.

Ce sont bien les théories de Marx et de Mao qui furent utilisées par des mouvements comme les Panthères Noires d’autrefois et feu Malcolm X, et qui sont reprises aujourd’hui par des universitaires militants et par « Black Lives matter » (…) Les trois fondateurs officiels de BLM sont bientôt rejoints par d’autres radicaux comme Deray McKesson de Baltimore, « empereur des réseaux sociaux » comme l’a sacré Barak Obama en rendant hommage à son talent d’organisateur professionnel.

Wesley Webb, le président de « 100 hommes noirs » pour la région de Baltimore (…) Des écoles dépotoirs (dangereuses et vandalisées) dans lesquelles les professeurs ne peuvent se faire entendre, et des chiffres de réussite aux examens totalement truqués. Les sujets (beaucoup plus faciles) n’ont souvent rien à voir avec le programme de l’année. De fait, les politiciens ont créé au sein de l’enseignement public une forme de ségrégation.

Même son de cloche de la part du milliardaire noir Robert Johnson. Tout commence par la psychologie des affaires. Création de richesses = économies et investissements. « Les noirs ne savent pas économiser et investir leur argent. »

Qui est Linda Sarsour ? Même les médias de gauche tels que le New York Times, le Huffington Post ou CNN la décrient et la décrivent comme une dangereuse fondamentaliste, avec des liens avec le Hamas, un ego surdimensionné, une raciste, une activiste qui n’a pas dénoncé les attentats de septembre 2001 mais qui, grâce à l’Association qu’elle a créé (l’Association Arabe Américaine de New York) s’est lamentée sur le sort d’une communauté musulmane discriminée. Elle est née à Brooklyn, NY, en 1980 avec tous les avantages que la citoyenneté américaine procure, mais elle se présente comme Palestinienne. Elle a été recrutée comme co-directrice du comité de la Marche des Femmes par Mallory et Perez (…) me reviennent en mémoire les mots employés par Sarsour à l’encontre d’Ayaan Hirsi Ali, la survivante d’une mutilation génitale à l’âge de cinq ans, et héroïne du droit des femmes musulmanes contre l’oppression de la sharia. Je cite Sarsour en 2014 : « J’aurais souhaité lui arracher le vagin moi-même. Elle ne mérite pas d’être une femme. »

Lors d’une manif de lesbiennes fin juillet 2017, à Chicago : « The Dyke March » (littéralement la « Marche des Gouines »), quelques femmes portent le drapeau arc-en-ciel de la cause LGBT, frappé d’une étoile de David. Elles sont alors éjectées manu militari parce que « leur drapeau est une provocation qui rendrait les gens mal à l’aise », explique une organisatrice des Gouines. En revanche, toujours au nom du premier amendement qui défend le droit d’expression et de religion, des filles en tchador, ouvertement antisionnistes et officieusement antisémites défilent pour la Palestine au sein de la Marche des Gouines.

Vrai ou faux, et bien avant la campagne présidentielle, deux de mes amies lesbiennes me demandaient déjà (comme si j’étais mieux avertie parce que je suis journaliste) si l’on pouvait « encore longtemps cacher au public encore trop réac et pas encore prêt qu’Hillary est des nôtres ? ».

Fait remarquable dans le cas de Trump, qui n’est pas un cas criminel comme celui de Clinton mentant sous serment, ce carcan puritain date d’un temps où la religion protestante faisait la loi. Elle est aujourd’hui appliquée  avec une rigueur toute nouvelle par une gauche déchristianisée.

On attend toujours le départ de Madonna et de de Niro qui avaient juré de quitter le pays si Donald Trump était élu. Où sont starlettes et stars quand il faut défendre des immigrées clandestines victimes de viols dans les plus sordides conditions des usines d’emballages de viande ? (…) Le scandale Epstein est une autre pierre dans le jardin des Démocrates bien -pensants qui se prétendent les champions des droits des femmes. Et dans le jardin des Clinton en particulier, puisque le séduisant et sémillant millionnaire Jeffrey Epstein était un ami personnel du couple et un contributeur de taille à ses campagnes électorales. Or, Epstein n’était pas accusé d’avoir entretenu une relation extra-maritale ou d’avoir parlé de la gente féminine dans des termes peu respectueux. Il avait été arrêté pour proxénétisme et pédophilie. Un trafic qui durait depuis des années et dont Bill aurait dû être informé depuis longtemps.

Les cabinets de conseil qui organisent des stages de formation pour savoir s’adresser aux femmes de façon « professionnelle » en faisant bien attention aux différences culturelles, religieuses et raciales, et au choix du sexe des employées, font fortune.

Avant 1918, presque tous les états du nords des USA ont amendé leur constitution pour accorder aux femmes le droit de voter. Il est essentiel de noter que dans ce combat, comme dans celui des noirs pour leur liberté, les Démocrates sont les « bad guys » et tentent de bloquer toutes les avancées sociales, avec un succès remarquable dans les Etats du sud. En 1920, le Congrès Fédéral accorde le droit de vote à toutes les femmes sur tout le territoire des Etats-Uns. 24 ans plus tôt qu’en France.

La Simone de Beauvoir américaine s’appelle Betty Friedan. 15 ans après son égérie française, elle publie un best-seller qui fera date, « La Femme Mystifiée. » C’est le fruit de 20 ans d’études et de sondages auprès d’étudiantes dans les universités (…) J’ai eu l’honneur de connaître Betty Friedan (…) En privé comme en dans ses écrits, elle exprimait sur le tard ses craintes de voir le mouvement féministe investi par les lesbiennes, au nom de l’inclusion mais aussi au risque de l’exclusion des autres femmes. L’histoire lui a donné raison.

(…) Kerri-Jo Ford-Lyn, l’un des piliers d’Aestra Lesbian Foundation for Justice (…) financé par le gouvernement américain par le biais de subventions accordées à des projets : « Nous avons des alliés puissants au sein de la bureaucratie américaine, et notamment ici, à Washington. On a nos espions dans la place. » (…) Aestra soutient les athlètes masculins qui on subi une opération pour devenir une femme, et qui veulent participer aux compétitions sportives féminines. L’ancienne championne de tennis Martina Navratilova, qui est mariée à une femme et n’a jamais caché ni exhibé son homosexualité, estime que le procédé « est fou et que c’est tricher. » La championne sera exclue de « Athlete Ally » , une association qui soutient les LGBT dans le sport, et dont elle était l’ambassadrice. Athlete Ally estime en effet que Martina est « transphobique ».

En mai 2018, Judicial Watch obtient et publie 32 pages de documents compromettants pour l’administration Obama. Certains d’entre eux montrent clairement que l’argent public est souvent passé dans des projets soutenus par les organisations caritatives de magnats de gauche, comme George Soros, grand contributeur des campagnes Démocrates.

Les attaques antisémites (…) sont plus nombreuses que les attaques cotre les musulmans (…) 80% des juifs votent pour le parti Démocrate.

Lorsqu’un attentat est commis par un extrémiste musulman, et surtout sur le sol américain, la première réaction des présidents Clinton, Bush et Obama a toujours été de déclarer que l’Islam est une religion de paix et que les terroristes ne représentent pas les musulmans dans leur ensemble.

« Il y a une montée de l’antisémitisme ici comme je n’en ai pas vu en 43 ans. Il a été facilité par Obama. Il a fait entre le loup dans la bergerie, et il n’en est plus sorti. D’abord, en huit ans, il a fait rentrer des musulmans par centaines de milliers dans le pays. Ensuite, il a fait entrer des antisémites notoires à la Maison-Blanche et au sein de son administration. » (Eber Haddad) Haddad parle entre autres de Samantha Power, ambassadrice des Etats-Unis à l’ONU, de Susan Rice, qui l’a précédée à l’ONU, avant de devenir Conseillère pour la Sécurité Nationale à la Maison Blanche lors des accords avec l’Iran.  Il fait aussi référence à des antisionnistes révélés comme le  Directeur de la CIA, John Brennan, ancien (?) communiste de son propre aveu.

Iriving Bloom n’est plus de gauche depuis longtemps. Il ne mâche pas ses mots. D’abord sur les juifs américains : « Ce sont tous des couilles molles ! C’est un modèle récurrent dans l’histoire des juifs, y compris des juifs américains très intégrés. Se faire le plus petit possible pour ne pas faire de vagues et risquer davantage l’antisémitisme (…) Je ne souhaite pas voir aux Etats-Unis ce qui se passe en France, c’est-à-dire la destruction de notre civilisation. »

La collusion entre les extrémistes noirs antisémites comme Luis Farrakhan et les musulmanes élues au Congrès est un fait bien établi. On les voit poser avec lui sur des photos, partager les bancs des mêmes séminaires qui défendent le terrorisme avec un homme qui ose déclarer sans se faire reprendre par personne que le poison juif a infecté le monde et que Hitler était un grand homme. Une enquête de la Ligue américaine Anti-diffamation de 2015 montre que les hispaniques récemment immigrés et les noirs américains sont neuf fois plus antisémites que les blancs.

Ilhan Omar, qui porte le foulard, et ne dit pas bonjour mais As-saalam-Aleikoum, est née en Somalie. Elle siège au Congrès Fédéral. Elle twitte : « Israël a hypnotisé le monde. Que Allah réveille les gens et leur fasse voir les actes démoniaques d’Israël. »

Eber Haddad : « Israël est une excuse très pratique. L’antisémitisme existait chez les musulmans et les Arabes en particulier, bien avant la création d’Israël. On veut oublier la visite du Grand Mufti à Hitler pour se débarrasser des juifs (…) Les soi-disant palestiniens sont d’origine irakienne, syrienne, égyptienne, etc. C’est un truc de l’OLP, la Palestine. »

Nancy Pelosi, le Chef de la majorité démocrate à la Chambre des Représentants, très vocale, est très opposée au mur entre les USA et le Mexique… qu’elle avait pourtant appelé de ses vœux en 2006 sous la présidence d’Obama…

Le vrai visage des Démocrates, de la « résistance », du progressisme, c’est aujourd’hui Linda Sarsour, Rashida Tlaib ou Ilhan Omar. Avec leur amie Alexandria Occasio-Cortez…

Même dans la « Bible Belt », les Etats du Sud qui forment la « ceinture » de la foi évangéliste protestante, la religion ne fait plus recette comme avant. Les églises ne sont plus aussi fréquentées qu’il y a 16 ou 20 ans. Le nombre de « Born-Again » a considérablement baissé.

L’influence de CAIR se fait de plus en plus sentir dans les établissements scolaires, la dernière demande pressante en date du Conseil pour les Relation Islamo-Américaines étant de saluer les élèves musulmans avec un « moubarak Ramadan » (joyeux ramadan). Or comme ne cesse de le clamer la gauche qui interdit au nom du politiquement correct les souhaits de bons Noël ou de joyeux Pessa’h et leur préfèrent « joyeuses fêtes », la séparation de l’église et de l’Etat est un fait bien établi dans la grande majorité des Etats du pays.

Sorti dans les salles le 29 mars 2019, « Unplanned » n’a bénéficié d’aucune publicité (…) Ann Hornaday, critique cinéma du Washington Post, affirme qu’elle n’a pas été informée de la sortie de ce film anti-avortement (…) Ensuite le film a été classé « R », c’est-à-dire « restricted » aux adolescents en dessous de 17 ans (…) le vendredi soir du premier week-end de sa sortie dans la salles, le compte Twitter de « Unplanned » est fermé (…) Pourtant les spectateurs se sont rués sur le film qui a dépassé le nombre d’entrées de « Dumbo l’Eléphant ».

(…) une représentante démocrate au Congrès de Virginie, a écrit un projet de loi, soutenu par le Procureur général de l’Etat, Ralph Northam. Il permettrait aux mères et médecins qui le souhaitent de tuer le bébé à sa naissance. Une forme de légalisation de l’infanticide.

En 2015, un des directrice du «Centre pour le Progrès médical » accepte de vendre les stocks de plasma des embryons à un laboratoire médical.

Kim Bobo, une autre croisée anti-chrétienne, fondatrice et dirigeante de l’IWJ (Interfaith Worker Justice), qui soutient l’homosexualité et l’avortement (…) la proximité de Madame Bobo avec les idées de division de la société bourgeoise et d’éradication des valeurs judéo-chrétiennes prônées par l’Ecole de Frankfort. Kim Bobo est une socialiste souvent invitée à parler par le SDP de Bernie Sanders.

(…) dès 2009, les cartes de Noël de la Maison Blanche, au lieu de célébrer la tradition chrétienne, ont représenté la famille Obama avec ses chiens (…) les décorations des sapins de la demeure présidentielle comprenaient des figures de drag-queens.

Pour la première fois dans l’histoire des Etats-Unis, les « sans religions » (agnostiques, croyants sans pratique confessionnelle, ou athées) deviendront le premier groupe du pays en 2010, soit un quart de la population, passant devant les Catholiques (qui sont environ 23%) (…) Les Episcopaliens eux, ne connaissent pas la crise (…) Le premier évêque homosexuel est consacré en 2003. Aujourd’hui à Boston, un prêtre épiscopalien a subi une opération  pour devenir une femme avec la bénédiction de son diocèse (…) Le Révérend Carol Flett : « La question centrale que les Épiscopaliens se posent est : qui est absent ? Qui manque ? Nous menons un combat contre la discrimination. Des religions. Des races. Des genres. Le langage inclusif est de trouver un moyen, des mots, des tournures de phrases qui évitent de désigner une identité sexuelle. Par exemple, vous ne parlez pas de Dieu en disant Lui. Lui devient un mot que vous bannissez de votre vocabulaire. Nous prions en langage inclusif.» La championne des Épiscopaux, Hillary Clinton…

(…) l’Etat de Virginie était en 2010 déjà la destination préférée des immigrants musulmans.

Le second volet de la politique de l’administration Trump est de renvoyer les immigrants clandestins qui sont venus vivre aux Etats-Unis et/ou y faire naître des enfants qui, par la loi du sol, sont systématiquement citoyens américains. Depuis des décennies, des mères font un voyage éclair à Miami, à New York ou en Californie pour accoucher puis repartent en laissant le bébé aux soins d’un parent éloigné.

Le RINOS (Republican In Name Only) est un représentant de la droite molle qui « couche » depuis des décennies avec l’establishment Démocrate de Washington.

La photo à la une de Time Magazine en date du 30 juillet d’une petite fille de deux ou trois ans (selon différentes sources) en larmes lors de l’arrestation de sa maman, faisant face à Donald Trump, a fait le tour du monde (…) 1. Yanela n’a jamais été séparée de sa mère. 2. Cette dernière (…)  a kidnappé sa fille car son père (…) s’opposait au long et terrible voyage du Honduras à travers le Mexique. 3. La photo a été prise dans un centre d’accueil du Texas où mère et fille étaient détenues ensemble. Yanela pleurait comme une petite fille le fait, sans rapport aucun avec une séparation. 4. La mère avait déjà été renvoyée des Etats-Unis en 2013, sous la présidence de Barak Obama (…) Une autre photo m’a beaucoup choquée. Elle a fait le tour du monde des réseaux sociaux et provoqué la consternation et la colère contre la politique de Trump. Elle est authentique, elle a été imprimée fin mai 2018 par le New York Times magazine, et diffusée par CNN. Elle montre des enfants détenus cette fois dans des vraies cages, très petites, comme des chiens à la SPA, à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique. Le cliché ne ment pas. Le seul petit accroc fait à la vérité est qu’il a été prix six mois avant l’élection de Donald Trump et illustre les méthodes utilisées sous l’administration d’Obama. A l’époque, plus de 1000 enfants avaient été séparés de leurs parents. La photo avait paru dans The Arizona Republic le 10 juin 2014. Le rédacteur en chef du New York Times Magazine - Jack Silverstein - et sa consœur de CNN, ont publié des excuses lapidaires expliquant s’être trompés. Cela n’a pas empêché la presse de gauche de traiter Trump de nazi qui utilise des camps de concentration pour enfants.

Le Comté de Fairfax en Virginie, est officiellement devenu, même illégalement devant la loi fédérale, un comté « sanctuaire ». On ne renvoie personne, point final. Pas même les criminels récidivistes.

Sur une population de 328 millions d’habitants, 43,6 millions de gens sont nés à l’étranger. Plus d’un quart d’entre eux vit illégalement sur le territoire américain (soit près de 11,1 millions de personnes). Encore ces chiffres datent-ils de septembre 2016. Ils sont contestés par des chercheurs qui estiment qu’il y a aujourd’hui plus de 22 millions de sans-papiers aux Etats-Unis. « La plateforme des Démocrates est de leur accorder la citoyenneté car ils voteront pour eux » écrit le journaliste Tucker Carlson dans son livre « Ship of Fools », avec ce sous-titre « Comment une classe dirigeante intéressée mène l’Amérique au bord de la révolution. »

Pourtant il est extrêmement choquant de voir les hommes (une immense majorité), les femmes (parfois enceintes) et les enfants de la Caravane des migrants, un convoi organisé par Pueblo Sin Fronteras, partir du Honduras, ramasser d’autres migrants à des stations de bus au Guatemala, et continuer leur chemin à travers le Mexique d’où d’autres pauvres pleins d’espoir veulent échapper à la misère et à l’insécurité dans leur pays. Des Salvadoriens se joignent au cortège. On leur a promis l’Eldorado et des droits qu’ils n’ont pas. C’est choquant et triste, car ces personnes sont les marionettes de l’aile extrême du parti Démocrate (…) lorsqu’ils arrivent à la frontière américaine, les migrants sont arrêtés par les autorités américaines et instrumentalisés par des militants qui les montreront pleurant derrière des grilles, ou dans ces fameuses « cages » (…) La crise humanitaire à la frontière avec le Mexique n’est pas une invention de la gauche. Elle est sa création. Une manipulation de sa part, une crise programmée et bienvenue (…) Le nombre de personnes appréhendées a doublé entre 2018 et 2019. Les agents de ICE sont tellement débordés qu’en mars 2019, ils ont dû relâcher 100 000 sans-papiers (…) Le san Diego Union-Tribune rapportait déjà fin 2018 que le FBI enquêtait sur des mouvements « anti-fascites » qui projetaient de provoquer des rébellions à la frontière, en achetant des armes à des cartels (…) La foule avance toujours derrière les drapeaux nationaux du Salvador, du Hondura ou du Guatemala, pas derrière le drapeau américain. Elle brandit des panneaux qui affichent : » non à Trump ! » C’est une déclaration de guerre.

En 1995, Bill Clinton déclare dans son Discours sur l’Etat de l’Union à propos des immigrés sans papiers : « Les emplois qu’ils occupent devraient l’être par des citoyens américains ou des immigrés (en règle). Les services sociaux qu’ils utilisent sont un poids supporté par les contribuables. » (…) En novembre 2015, Hillary Clinton expliquait qu’il fallait créer « une sorte de barrière » à la frontière avec le Mexique pour stopper les clandestins (…) Lorsqu’il laisse sa place à Donald Trump à la Maison Blanche, Barak Obama est alors le Président qui a expulsé le plus d’immigrants.

Le très grand capital finance maintenant la gauche et l’extrême gauche (…) Créée en 1906, la Fondation Carnegie a dépensé 100 millions de dollars pour la seule année 2003 afin de défendre l’immigration (légale et illégale) explique le New York Times. Les rapports financiers de la Fondation Ford montrent qu’elle aide depuis des décennies les immigrants, notamment les clandestins. Le quotidien cite aussi The Atlantic Philantropy (…) qui, de 2004 à 2014 , a distribué 69 millions de dollars pour les immigrants, dont la moitié destinée à payer les services du cabinet de consultants en communication et lobbying. Bien sûr et enfin, Julia Preston cite The Open Society Foundation de George Soros qui s’est consacrée à l’aide aux immigrants en leur fournissant des avocats gratuits, grâce entre autres à Pueblo Sin Fronteras (…) En octobre 2017, le Wall Street Journal révèle l’injection récente de 18 milliards de dollars dans Open Society (…) En France, Alliance Citoyenne, qui soutient le burkini, a reçu de l’argent de George Soros. 80 000 dollars en 2016 déjà.

Faute de pouvoir accorder plus vite la citoyenneté aux illégaux, les Démocrates ont aussi essayé, et souvent réussi, à les faire voter en grand nombre quand même. Le directeur de la campagne présidentielle d’Hillary Clinton, John Podesta, explique très clairement comment faire, dans une série d’emails échangés en 2015 et publiés par Wikileaks le 7 octobre 2016, avant l’élection présidentielle. La fraude n’a pas été démentie par Podesta : « Si vous vous présentez le jour de l’élection muni d’un permis de conduire avec une photo, que vous attestez de votre citoyenneté, vous avez le droit de voter lors des élections fédérales. » (…) Or nul n’a besoin d’être américain pour obtenir un permis de conduite (…) Au 30 avril 2019, l’Etat de Californie a délivré des documents d’identité comme le permis de conduire, à 1 000 000 d’immigrants sans-papiers. En mai 2019, le Secrétaire d’Etat de Californie est pris en train d’autoriser des centaines de Californiens à voter deux fois lors d’une même élection (…) L’autre problème est celui du recensement. Jusqu’à présent, les questionnaires ne prenaient pas en compte la nationalité des sondés (…) la Californie, très Démocrate, profite du mode d’enquête pour le recensement.

(…) 2020 sera la première élection dans laquelle les hispaniques seront la minorité la plus large aux Etats-Unis. 32 millions, soit plus de deux millions de plus que les noirs. Les « latinos » sont catholiques, souvent anti-avortement et très souvent anti-communistes.

Il existe une multitude de gangs aux Etats-Unis, mais le MS-13 est le plus brutal au monde. Il s’est fait connaître par sa cruauté et parce que Donald Trump le cite toujours dans ses discours. Il a même traité ses membres d’animaux, ce qui a choqué la gauche, le Washington Post  et le New York Times exigeant qu’il prononce des excuses. Ce que le Président n’a pas fait. MS-13 signifie Mara Salvatrucha. Sur l’origine de cet acronyme, les experts divergent. Ce qui est sûr, c’est que Salvatrucha vient de Salvador et que le chiffre 13 fait référence à son affiliation et à sa soumission à la mafia Sureno quand des membres du MS-13 se retrouvent en prison où le 13 assure leur protection (…) Les armes à feu, oui, ils s’en servent, ils en portent bien sûr. Mais ils préfèrent découper les victimes au couteau, les décapiter et leur arracher le cœur (…) Il y a plus de 40 000 membres du MS-13 aux Etats-Unis (…) Les leaders du MS-13 au Salvador reprochent aux membres de Virginie, de Californie et de New York de ne pas tuer assez de gens, leur ordonnent d’en tuer au moins deux par semaine (…) L’autre grand changement qui s’est opéré au sein du MS-13 est que le gang est devenu transnational et qu’il travaille en collaboration avec les cartels mexicains de la drogue (…) Comme des mercenaires. Mais ils restent neutres.

La plus grande difficulté des forces antigang est de trouver des informateurs. Ni le Comté de Prince George où se trouve Hyatsville, ni l’État du Maryland ne veulent dépenser d’argent pour financer un programme comme celui que les Fédéraux offrent à ceux qui collaborent avec la justice (…) Mais le Maryland n’est-il pas un Etat sanctuaire ? (…) La Virginie n’est pas en reste (…) le chef de la police du Comté de Fairfax se plaint que l’activité des gangs soit hors de contrôle (…) Corps démembrés, travail de sculpture sur chair, le MS-13 compte autant de membres ultra-violents dans le comté de Fairfax que de policiers (…) Le MS-13, qui sévit à quelques miles de la Maison Blanche, n’a aucune préférence pour la couleur ou l’origine de ses victimes.

El Chapo appartient désormais à l’histoire mexicaine, et El Mencho a pris sa place (…) le cartel a établi des routes dans des dizaines de pays sur les six continents, et il contrôle la moitié du Mexique (…) Les tunnels creusés sous la frontière avec les USA comprennent des panneaux solaires, des systèmes d’aération et d ‘électricité. Les sous-marins sont conçus avec l’aide des Russes pour acheminer la cargaison par voie maritime jusqu’à Miami ou San Diego (…) au Mexique, 115 personnes sont abattues par jour (…) La notion de dialogue Nord-Sud par les cartels et les gangs transnationaux se résume ainsi : les illégaux montent et les armes descendent. Environ 253 000  armes à feu sont achetées ou volées chaque année aux Etats-Unis, expressément destinés au Mexique. Ce pays est devenu la plaque tournante pour l’héroïne : chinois et afghans envoient leur produit base pour écouler leur marchandise grâce aux cartels mexicains.

Dans une interview en caméra cachée, la directrice d’une ONG française reconnaît apprendre aux migrants musulmans à se faire passer pour des chrétiens persécutés pour leur foi. « Je leur dit de jouer la comédie, tout cela, c’est de la comédie (…) pour qu’ils réussissent, ils doivent jouer leur rôle au théâtre. »

Les gangs - dont le MS-13 et 18th Street - kidnappent ou soumettent les victimes (…) dans les quartiers déshérités sous contrôle des gangs justement, mais aussi parmi les collégiennes des écoles privées du nord de la Virginie. Boboland est en effet l’une des régions les plus atteintes par la catastrophe de la prostitution. Les enlèvements en série sont pudiquement appelés « disparition d’enfants ».

(…) le réalisateur du film « 8 Days » (2014) qui retrace l’histoire de véritables victimes du trafic d’êtres humains, Jaco Booyens (…) est sorti de ses gonds devant une assemblée d’étudiants en juillet 2018 : « Est-ce que vous pouvez imaginer  que je ne peux rien obtenir de l’ultra gauche pour faire changer les choses ? Savez-vous que nous n’avons rien pu obtenir de la Maison Blanche d’Obama ? » (…) il a fallut attendre Trump, l’aide de sa fille Ivanka et de son mari Jared Kushner « pour combattre ça ». Il n’en revient pas. Pourquoi ? Comment cela se fait-il ?

Les enragés qui jouent sur la division de la société en groupes et sous-groupes de victimes persistent dans leur propre racisme anti-blanc (…) A la fin de ses études de coaching, il a rencontré le chasseur de tête de l’organisation qui l’a formé. Elle le félicite pour la qualité de son CV puis « elle lâche la bombe et m’explique que comme j’ai été licencié par deux compagnies en trois ans, il lui est impossible de m’aider parce que je suis un homme blanc. »

Les suicides sont la première cause de mortalité aux Etats-Unis. 45 000 décès, loin devant les homicides (19 335) en 2016. Le taux de suicides des blancs est aujourd’hui 10 fois supérieur à celui des noirs et des hispaniques.

Pour un âge moyen de 40 ans, un homme a aujourd’hui un taux de testostérone de 30%. Il était de 40% en 1987 (…) Rien de semblable n’est jamais arrivé. Les médecins et chercheurs associent cette chute spectaculaire à plusieurs factures : dépression, léthargie, ennui, chômage, obésité, tabagisme, alcoolisme et addictions diverses.

C’est le très Démocrate Président Clinton qui signe des deux mains les accords NAFTA qui éliminent les barrières douanières entre les USA, le Mexique et le Canada. C’est lors de son premier mandat (en 1995) que l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) est créé.

(…) l’un des effets imprévus du système Obama Care : des entreprises comme Wal-Mart, géant de la distribution au détail, a trouvé le moyen d’éviter de s’acquitter du paiement de la couverture médicale obligatoire d’une grande partie de ses employés. Le chiffre magique était de 30h par semaine pour bénéficier d’une couverture de santé,  Wal-Mart a donc diminué le nombre d‘heures de travail d’une très grande partie de ses postes, préférant employer davantage de personnes, mais à mi-temps. Ceux qui ont ouvert la bouche ont été licenciés.

A 14 ans, un élève sur trois ne sait pas lire et écrire.

George Wallace, trois fois gouverneur de l’Alabama, l’un des pires ségrégationnistes de l’histoire, était un politicien Démocrate, et n’est mort qu’en 1998. Le père d’Al Gore (…) était un membre du Klan et il a voté contre les Droits Civils. Quant à Robert Byrd, un autre « Klan man » bien connu, et Sénateur Démocrate décédé seulement en 2010, il reçoit à titre posthume cet éloge d’Hillary Clinton qui le considère comme un mentor : « Mon premier jour au Sénat, j’ai recherché les conseils de Robert Byrd. Il s’est toujours montré généreux de son temps et de sa sagesse. »

Hillary doit réagir aux révélations sur ses emails faites en juin 2016 par Wikileaks. La vendetta commence. C’est ainsi que l’équipe de campagne de la candidate Démocrate tente un véritable coup d’Etat bureaucratique. « L’affaire russe contre Trump est un écran de fumée, une couverture pour masquer les agissements d’Hillary Clinton » explique Roger Stone dans son livre publié avant que le Conseiller Spécial Mueller ne boucle son rapport le 22 mars 2019 (…) 
L’ancien agent des services secrets britanniques, Christopher Steel, payé par les Clinton et par le Comité du Parti Démocrate pour écrire un rapport accablant contre le candidat Républicain, produit un faux document. Steele reçoit aussi onze paiements du FBI en 2016 (…) 
L’enquête Mueller va même s’intéresser à des histoires très périphériques au dossier russe, comme la liaison présumée de Donald Trump avec la prostituée de luxe Stormy Daniel. Stormy avouera que son avocat et elle ont monté cette histoire de toutes pièces pour nuire à Trump et se faire de la publicité (…)
Il fallait protéger les FBI et ses directeurs. Ils ne devaient pas être inquiétés pour leur rôle pendant la campagne et l’aide qu’ils ont apportée à Hillary Clinton. John Brennan, ancien patron de la CIA, chouchou du Président Obama, ne déclare-t-il pas sur toutes les chaînes de télévision sans apporter la moindre preuve à ses dires, que Trump est coupable ? Et qu’il est un traître à son pays ? Comment un simple agent peut-il ouvrir la bouche pour affirmer le contraire sans perdre son avenir professionnel et sa retraite voire la vie ? (…)
Les journalistes et avocats de Project Veritas ont surpris en flagrant délit de fraude électorale des assesseurs Démocrates dans certains bureaux de vote, en novembre 2018, lors de élections législatives de mi-mandat. Un autre interview à micro et caméra cachés montre John Koskinen, ancien directeur délégué au Département des Impôts, déclarer ouvertement : « On doit augmenter la surveillance (fiscale) des groupes de droite. Je m’en fous si c’est un crime » ! Et Koskinen trouve « tellement cool » que les emails d’Hillary aient été effacés.

Ceux qui croient encore en la légende du professionnalisme de la presse américaine font fausse route (…) Aujourd’hui, c’est Jeff Bezos, le patron d’Amazon qui possède le Washington Post. Il l’a racheté en 2013 et depuis, le quotidien n’est plus que l’ombre de lui-même. Bezos déteste Donald Trump (…) les éditoriaux du Washington Post étaient souvent écrits ou inspirés par Condoleezza Rice alors conseillère pour la Sécurité Nationale à la Maison Blanche, puis Secrétaire d’Etat, toujours sous la présidence de George W. Bush Jr. Je le tiens de bonne source, c’était d’ailleurs un secret de polichinelle pour les journalistes accrédités à la Maison Blanche.

Trump a décidé dès le début de son mandat qu’aucun lobbyiste n’aurait accès à la Maison-Blanche, ce qui est une grande première.

Les GAFA, avec Youtube, jouent un rôle de censure indéniable à l’encontre des conservateurs et de leurs opinions. On ne compte pus les liens, sites, comptes et vidéos effacés par les GAFA et Youtube dans la prétendue croisade contre la haine. Pour seul exemple, Facebook a enterré des informations et des commentaires publiés par des millions d’utilisateurs d’Instagram le jour où Mueller remettait son rapport. Il le reconnaît.

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