« Viens,
mon Grand », hurlait le morceau de foie délirant que dans ma propre
aberration j’achetai un après-midi chez le boucher et que, croyez-le ou non, je
violai derrière un panneau d’affichage, en route pour une leçon préparatoire au
« bar mitzwah »
M’arriverait-il
un jour en classe d’ouvrir la bouche pour parler et de découvrir ma couille gauche
sur le bout de ma langue ?
Je
crois avoir déjà parlé de cette tranche de foie […] Mon premier morceau, je me
l’étais farci dans l’intimité de ma propre maison, enroulé autour de ma bite
dans la salle de bain, à trois heures et demie – et je me l’étais farci à
nouveau au bout d’une fourchette à cinq heures et demie en compagnie des autres
membres de cette pauvre et innocente famille qu’est la mienne.
… sur
des hauts talons, elle avait l’air d’un chat coincé en haut d’un arbre…
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