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mardi 17 décembre 2019

"Les miracles et autres prodiges" du père François Brune (2000)


Aimé Michel pense avoir relevé que les lévitations profanes, de médiums, semblent tirer l’énergie nécessaire du milieu ambiant, d’où un refroidissement très sensible de la pièce où elles ont lieu, tandis que les lévitations à contexte mystique puiseraient leur énergie dans le métabolisme anormal que l’on constate souvent chez les mystiques, d’où la chaleur intense, parfois fantastique, dégagée dans leur entourage.

Le docteur Hubert Larcher, ancien directeur de l’Institut métaphysique international (IMI) et membre du jury des deux thèses que j’utilise ici, m’a fait remarquer que certains symptômes, signalés dans de nombreux cas, donnent à penser que le mécanisme de certaines guérisons peut être déclenché par une sorte d’explosion d’énergie. Beaucoup de ceux qui ont été guéris éprouvent aussitôt, comme dans le cas de Jeanne Frétel, une « faim féroce », considérée comme très caractéristique. Cela tendrait à prouver qu’une bonne partie de l’énergie nécessaire à la guérison a été puisée dans les cellules du corps lui-même.

[…] si certaines guérisons sont finalement reconnues comme « inexpliquées » par la science et admises comme « miraculeuses » par l’Eglise, c’est précisément parce qu’elles se sont produites en un délai extrêmement court, souvent de façon instantanée.

Ce qui est extraordinaire dans ce cas, c’est le rétablissement de la fonction, alors que la lésion qui l’avait rendue impossible persiste.

Ce cri « J’ai faim ! » est caractéristique du fait de Lourdes.

(…) notre adhésion à sa présence et à sa volonté se situe principalement au niveau du « cœur » au sens où l’entend toute la tradition des Pères du désert. Satan sait bien que Dieu existe. Il n’en reste pas moins prisonnier de son refus. Il ne suffit donc pas de croire que Dieu existe, il faut surtout le désirer.

Le corps semble avoir disparu du linceul, dans le linceul !

[…] on avait déposé sur les yeux du Christ au tombeau des pièces de monnaie romaine […] un dilepton, frappé sous Ponce Pilate entre les années 29 et 32 et marqué du nom de Tibère César.

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