Aimé
Michel pense avoir relevé que les lévitations profanes, de médiums, semblent
tirer l’énergie nécessaire du milieu ambiant, d’où un refroidissement très
sensible de la pièce où elles ont lieu, tandis que les lévitations à contexte
mystique puiseraient leur énergie dans le métabolisme anormal que l’on constate
souvent chez les mystiques, d’où la chaleur intense, parfois fantastique,
dégagée dans leur entourage.
Le docteur Hubert Larcher, ancien directeur de l’Institut métaphysique international (IMI) et membre du jury des deux thèses que j’utilise ici, m’a fait remarquer que certains symptômes, signalés dans de nombreux cas, donnent à penser que le mécanisme de certaines guérisons peut être déclenché par une sorte d’explosion d’énergie. Beaucoup de ceux qui ont été guéris éprouvent aussitôt, comme dans le cas de Jeanne Frétel, une « faim féroce », considérée comme très caractéristique. Cela tendrait à prouver qu’une bonne partie de l’énergie nécessaire à la guérison a été puisée dans les cellules du corps lui-même.
Le docteur Hubert Larcher, ancien directeur de l’Institut métaphysique international (IMI) et membre du jury des deux thèses que j’utilise ici, m’a fait remarquer que certains symptômes, signalés dans de nombreux cas, donnent à penser que le mécanisme de certaines guérisons peut être déclenché par une sorte d’explosion d’énergie. Beaucoup de ceux qui ont été guéris éprouvent aussitôt, comme dans le cas de Jeanne Frétel, une « faim féroce », considérée comme très caractéristique. Cela tendrait à prouver qu’une bonne partie de l’énergie nécessaire à la guérison a été puisée dans les cellules du corps lui-même.
[…] si certaines guérisons sont finalement reconnues comme
« inexpliquées » par la science et admises comme « miraculeuses »
par l’Eglise, c’est précisément parce qu’elles se sont produites en un délai
extrêmement court, souvent de façon instantanée.
Ce qui est extraordinaire dans ce cas, c’est le
rétablissement de la fonction, alors que la lésion qui l’avait rendue
impossible persiste.
Ce cri « J’ai faim ! » est caractéristique du
fait de Lourdes.
(…) notre adhésion à sa présence et à sa volonté se
situe principalement au niveau du « cœur » au sens où l’entend toute
la tradition des Pères du désert. Satan sait bien que Dieu existe. Il n’en
reste pas moins prisonnier de son refus. Il ne suffit donc pas de croire que
Dieu existe, il faut surtout le désirer.
Le corps semble avoir disparu du linceul, dans le linceul !
Le corps semble avoir disparu du linceul, dans le linceul !
[…] on avait déposé sur les yeux du Christ au tombeau des
pièces de monnaie romaine […] un
dilepton, frappé sous Ponce Pilate entre les années 29 et 32 et marqué du nom
de Tibère César.
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