Je suis une bonne mère. Je pense à tout ce qui peut leur arriver. Tous les accidents qu’ils risquent, j’y pense d’avance (…) Il y a déjà tant de catastrophes à imaginer. Tant de catastrophes. Je les aime puisque je pense à ce qui peut leur arriver de pire. Pour le prévoir. Pour le prévenir, je ne me complais pas dans ces évocations sanglantes. Elles s’imposent à moi. Ceci prouve que je tiens à eux.
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