Nombre total de pages vues

vendredi 25 mai 2012

« Un autre regard sur le 11 septembre » de David Ray Griffin (2011)


Nous devons conclure que le vol UA175 n'a pu s’écraser sur le World Trade Center que si un ordre de non-intervention a été donné, annulant de ce fait les procédures opérationnelles normales (…)


Avant toute chose, et pour bien comprendre pourquoi le rapport du NIST (National Institute of Standards and Technology) est aussi irrecevable, il est nécessaire de savoir que le NIST n'est ni neutre ni indépendant. Il s'agit d'un organisme officiel qui dépend du ministère du Commerce. Par conséquent, lorsque le NIST préparait son rapport, il dépendait de l'administration Bush (…) En 2001, tous les dirigeants du NIST ont été formés à bien tenir compte des pressions politiques. Il n'y avait aucune chance que le personnel du NIST « enquêtant » sur ce qui s'est passé le 11 septembre, ait agi dans un esprit d'indépendance scientifique.

« Ça a explosé. Ça ressemblait à ce qu'on voit la télévision quand on détruit un bâtiment. C'était comme si ça faisait tout le tour comme une ceinture, toutes ces explosions. » Des explosions aléatoires ne peuvent pas expliquer ce phénomène, qui, dans le jargon de la démolition est ce que l'on appelle à « anneau de démolition ».
(…) près de 25 % (118/503) des membres du FDNY (Fire Department City of New York) ont témoigné de phénomènes semblables à des explosions (…)
Nous disposons pourtant de nombreux témoignages crédibles outre ceux des pompiers de New York. Par exemple, John Bussey, journaliste au Wall Street Journal, a raconté : « J'ai regardé en l'air à travers la fenêtre du bureau (…) Et j'ai vu ce qui ressemblait à des explosions parfaitement synchronisées à chaque étage (…) L'un après l'autre, du haut vers le bas, les explosions étant espacées d'une fraction de seconde, les étages ont été réduits en miettes. » (…)
Le concierge William Rodriguez, lui aussi dans la tour Nord, raconte comment, avec d'autres personnes, il a ressenti une explosion en dessous des bureaux du premier sous-sol à 8h46, juste avant que le bâtiment soit frappé par avion. Après quoi son collègue Felipe David, qui se tenait devant un monte-charge, est entré dans le bureau couvert de brûlures sur le visage et les bras en criant « Explosion ! Explosion ! Explosion ! » Rodriguez raconte : « J'ai contacté le NIST à quatre reprises sans obtenir de réponse. Finalement, lors d'une audience publique je leur ai demandé, avant qu'ils soient parvenus à leur conclusion, s'ils avaient pris en compte mes déclarations ou celle des autres survivants qui avaient entendu les explosions. Ils m’ont simplement regardé, le visage sans expression. » (…)

En effet, le NIST ne mentionne pas que certains matériaux projetés horizontalement étaient d'immenses sections de l'armature extérieure, pesant des centaines de tonnes et que plusieurs d'entre elles ont été propulsées à une distance de 150 à 180 m pour s’encastrer dans les immeubles aux alentours comme on peut le constater sur les photos et les vidéos.
Selon Dwain Deet, ancien directeur du département d'ingénieries du centre de recherche des Dryden Flight de la NASA, «les énormes parties de la structure éjectées horizontalement » sont l'un des éléments qui « ne laissent aucun doute » sur le fait que « les explosifs ont été utilisés » (…)

Si une partie de l'acier des tours a fondu, cela constituerait un indice très significatif utilisation d'explosifs. Les incendies n'ont pas pu produire ce résultat, l'acier ne commençant à fondre qu'à partir de 1480 °C, et un feu ouvert, diffus, alimenté par des hydrocarbures (dont le kérosène) ne peut pas, même dans des conditions optimales, s'élever à plus de 1000 °C.

(…) deux proches du président George Bush (un de ses frères et un de ses cousins), avaient été à la tête d'une société responsable de la sécurité du World Trade Center. J'ai aussi indiqué le témoignage de Scott Forbes qui explique que durant le week-end précédant le 11 septembre, l'électricité de la tour Sud avait été coupée pendant que « de nombreux « ouvriers » allaient et venaient à l'intérieur de la tour » (…) « les ascenseurs du côté ouest du bâtiment ne fonctionnaient plus depuis 5 ou 6 semaines et il y avait une équipe de la compagnie responsable des ascenseurs qui travaillaient sur les lieux »…

(…) la déclaration du maire Rodolphe Giuliani à Peter Jennings (…) dans laquelle il explique qu'on lui avait annoncé que « le World Trade Center allait s'effondrer. » (…) Étant donné que jamais dans l'histoire un gratte-ciel à structure d'acier ne s'était effondré (sauf dans les cas de démolition contrôlée), il est difficile d'imaginer comment l'équipe de Giuliani pouvait savoir que les immeubles étaient sur le point de s'effondrer à moins de savoir que les explosifs étaient disposés à l'intérieur.

Cependant, le WTC7 n'a pas été percuté par un avion, et les incendies ne se sont déclarés, d'après le NIST, que sur 6 des 47 étages de l'immeuble (…) Ainsi le bâtiment 7 fut le premier gratte-ciel à structure d'acier à s'effondrer à cause d'incendie ; dans toute l'histoire de l'architecture moderne, c'est aussi le seul.
(…) selon les lois de la physique, la partie supérieure du bâtiment 7 pouvait atteindre la vitesse de la chute libre, si et seulement si, l'acier et le béton de la partie inférieure avaient été préalablement dégagés, car sinon ils auraient opposé une résistance ; ainsi, seule l'utilisation d'explosifs peut expliquer un tel dégagement simultané des éléments structurels (…)
Le NIST a ainsi reconnu publiquement que son étude sur le WTC7, en admettant à la fois la réalité de la chute libre et en continuant de nier l’utilisation d'explosifs ne s'accorde pas avec les lois de la physique (…)
L'effondrement du bâtiment sur sa base, ainsi que les autres problèmes déjà soulignés, ont amené plusieurs experts à la conclusion que le WTC7 fut détruit à l'aide d'explosifs (…)
Outre les témoignages de Jennings et d’Hess rapportant des explosions le matin, plusieurs autres ont fait état d'explosion survenue plus tard dans la journée, juste avant que le WC T7 ne s'effondre à 17h20 (…)
Finalement, à 17h14, un journaliste de la BBC annonce que le bâtiment des Salomon Brothers (autre nom du WTC7) vient de s'écrouler, alors que celui-ci est toujours visible en arrière plan.
« Tout porte à croire qu'une, voire plusieurs agences de presse avait rapporté l'événement, ou au moins que quelqu'un leur en avait fait part. » (Proter). Mais pourquoi une agence de presse aurait-elle rapporté l'effondrement 30 ou même, dans le cas de CNN, 60 minutes à l'avance ?

(…) En janvier 2008, Yukihisa Fujita, membre de la Chambre du Conseil du gouvernement du Japon, au cours d’un meeting du Comité des Affaires Etrangères, dont Fujita était Président, a adressé ce discours en sachant qu'il était diffusé sur la télévision nipponne : « La tour numéro 7 faisait 47 étages (…) et s'est écroulée en 5 ou 6 secondes. C'est quasiment la vitesse à laquelle un objet tombe dans le vide (…) De même, elle tombe en conservant sa forme géométrique. Rappelez-vous qu'elle n'a pas été frappée par un avion. Vous devriez vous demander si un tour pourrait s'écrouler de cette manière à cause d'un incendie de sept heures. Voici un exemplaire du « Rapport de la Commission d'enquête sur le 11 septembre ». Un rapport publié par le gouvernement états-unien en juillet 2004, pourtant il ne mentionne pas l'effondrement de la tour dont je viens de vous parler. Elle n’est mentionnée nulle part dans ce rapport. »


Le fait que le récit de Ted Olson soit rejeté officiellement et de la plus grande importance. Sans les prétendus appels qu'il aurait reçus, il n'existe aucune preuve que le vol AA77 soit retourné en direction de Washington (…)

Comment un Boeing 757, et ses réacteurs sous les ailes, pourrait-il avoir frappé le Pentagone aussi bas sans endommager la pelouse et sans détruire les énormes bobines de fil su sol juste devant la zone d'impact ?(…)
Le réalisateur Paul Cross travaillait en post-production à Washington lorsqu'il a appris l’attaque sur le Pentagone. En se basant sur son observation de la scène cinq heures plus tard, il déclare : « Il n'y a aucun débris d'un avion commercial, la pelouse est intacte, les lampadaires, les clôtures et engins de construction sur la trajectoire de l'avion n'ont pas été touchés. » Bien que Cross soit un « patriote de longue date » qui « a toujours voté pour le parti républicain », il a réalisé un long-métrage, « Severe Visibility », dans le but d’alerter ses concitoyens sur la « mystification » que leur avait concoctée leur direction politique et militaire.
(…) le sergent Reginald Powell se souvient : « Je ne voyais pas d'avion, aucun reste d'avion. C'est comme s'il s'était désintégré en rentrant dans le bâtiment. »
Deux journalistes ayant pu pénétrer à l'intérieur ont fait des témoignages similaires. Judy Rothschald, réalisatrice de films documentaires, témoigne : « Il n'y avait ni siège ni bagage, ni quoi que ce soit que l'on trouve dans un avion ». John McWethy d’ ABC confirme : « Je suis allé tout près et j'ai très tôt observé tout ce désastre. Je n'ai pas vu d'épave d'avion. » Il ajoute que l'appareil « s'était en fait vaporisé » (…)
Donc la version officielle « n'explique pas où sont passés les 99,9 % de débris restants » (Dave Mc Gowan). « On parle d'un avion d'une centaine de tonnes. Un avion de 100 tonnes fera toujours 100 tonnes, même éparpillé en débris après avoir été percuter un bâtiment. » (Russ Wittenberg, ancien pilote de ligne).

(…) 85 enregistrements des caméras vidéos situées au Pentagone ou dans ses alentours avaient été saisi. (…) Est-il concevable que sur les 85 enregistrements, aucun d'entre eux ne pourrait donner une image plus claire de ce qui a frappé le Pentagone que les quelques vidéogrammes divulgués ? Peut-on croire que le gouvernement ne les montrerait pas si elles donnaient du crédit à la version officielle ?

(…) lorsque Le Conseil National de la Sécurité des Transports (NTSB pour National Traffic Safety Board) publie un rapport sur un crash aérien, il donne presque toujours le numéro de série de l'enregistreur de vol. Les seules exceptions entre 1991 et 2006, si l'on ne prend pas en compte les avions ne possédant pas de tels enregistreurs, sont les quatre rapports concernant les quatre vols qui se seraient crashés le 11 septembre.

La liste la plus complète des prétendus témoins comprend 152 personnes. Si certains affirment avoir vu le crash d'un avion de ligne sur le Pentagone, d'autres donnent une interprétation complètement différente (…) Par ailleurs 31 seulement fournissaient une relation explicite, réaliste et détaillée de la frappe d'un avion de ligne contre le Pentagone (…) 24 des 31 supposés témoins travaillaient soit pour le gouvernement fédéral soient pour les grands médias (…) Par exemple, Steve Anderson, responsable des communiqués chez USA Today, a déclaré que l'avion « a raclé son aile sur le sol » avant de frapper le Pentagone. Mais cela aurait créé une énorme entaille sur la pelouse du Pentagone, or comme le montrent les photographies, il n'en est rien.

L'un des quatre témoins a en fait dit que l'avion n'aurait pas frappé le Pentagone mais serait au contraire remonté au dernier moment pour passer au-dessus du bâtiment (…) L'avion se serait trouvé masqué par la fumée due à une explosion coordonnée dans l'aile numéro 1 (…)
Le C-130 dont nous avons parlé était dans les parages afin de couvrir la scène : si des gens voyaient l'avion s'éloigner au-dessus du Pentagone, on aurait très bien pu dire qu'ils avaient vu le C-130 (…)
L'un des problèmes est que la trajectoire de vol qu’indique l'enregistreur de vol passe au nord de celle nécessaire à l'arrachage des lampadaires (…)

Si les terroristes avaient voulu viser non seulement le Pentagone, mais les fonctionnaires les plus importants, il leur aurait été facile de se renseigner pour savoir où frapper. Cependant, les personnes les plus influentes du Pentagone, dans leurs bureaux pourtant, n’ont étrangement, pas été prises pour cible.

Or, d'après le rapport officiel, la spirale descendante entreprise pour frapper l’aile n°1 nécessiterait 3 minutes et 2 secondes de vol supplémentaires. Pourquoi les pirates aurait-il pris inutilement une telle décision, au risque de faire échouer leur mission ?
(…) la trajectoire suivie par l'appareil durant ces dernières minutes de vol demandait de grandes aptitudes de pilotage (…)
Un reportage du New York Times intitulé « A trainee noted for his incomptence » cite l'un de ses instructeurs qui explique qu’Hanjour, le pirate aux commandes du vol AA77, « était absolument incapable de voler »

Robin Spitzberg, ancien pilote de chasse au Vietnam, reconverti comme pilote de ligne pendant 35 ans a déclaré qu'il est « absolument impossible pour un amateur qui n'était même pas capable de diriger un Cessna » de réussir cette spirale descendante pour ensuite « s'écraser contre le mur du premier étage du Pentagone sans toucher la pelouse ».
Ralph Kolstad, qui fut un « Top Gun » de l'US Navy avant de piloter des avions de ligne pendant 27 ans a déclaré : « J'ai 6000 heures de vol sur des Boeing 757 et 767 et je n'aurais jamais pu effectuer la trajectoire qui était décrite (…) Tout cela ne tient pas debout ! » (…)

Comment un instructeur de Gaithersburg pourrait-il avoir eu une opinion aussi différente sur les capacités d’Hanjour de celles de tous les autres instructeurs qui avait travaillé avec lui ? (…) Cependant, même après des recherches poussées, on ne trouve aucun instructeur de vol portant ce nom, ni aucune preuve qu’Hanjour se soit effectivement rendu à la Congressional Air Charters. Se peut-il que la commission d'enquête, en désespoir de cause, ait tout simplement inventé cet instructeur ? (…)

Est-on censé croire (…) que les contrôleurs d’Indianapolis, dont le rôle est de suivre le trafic aérien, n'en avait aucune idée 30 minutes plus tard ?

Peut-on sérieusement penser que le Service Secret n'aurait pas alerté les militaires tout en sachant que des avions détournés se dirigeaient vers la capitale du pays ?

(…) le récit de Rumsfeld est complètement absurde : il explique qu'après avoir appris la seconde frappe sur le World Trade Center, il serait resté dans son bureau pour son briefing avec la CIA sur des sujets divers pendant 35 minutes, jusqu'à ce que le Pentagone soit attaqué.

Pour justifier l'absence d'avion disponible pour protéger Washington, les militaires ont déclaré qu’Andrews n'avait aucun chasseur en alerte, ils ont alors modifié un site Internet qui indiquait le contraire (…)
Paul Hellyer, ancien ministre de la Défense du Canada à demandé : « Pourquoi a-t-on fait tourner des avion en rond pendant une heure et demie au lieu de faire décoller des chasseurs à partir d’Andrews ? (…) Ils auraient dû être sur place en cinq ou dix minutes. »

(…) Cheney était présent dans le PEOC pendant 45 minutes cruciales, pendant lesquelles le Vice-président semble avoir confirmé un ordre de maintien au sol.

(…) Les responsables ont dit que les contrôleurs avaient averti le NORAD (North American Aerospace Defense Command), mais que les militaires n'ont pas réagi car ils avaient « l'ordre de rester au sol. » (…) Un peu plus tard, ils ont dit que l'ordre avait été donné « du plus haut niveau à la Maison-Blanche » (…) Le « plus haut niveau à la Maison-Blanche » signifie probablement Cheney, puisque Bush n’étant pas présent, il était le plus haut responsable.

Le capitaine LaPonda Fitchpatrick de la police de l'aéroport de Los Angeles, qui est responsable de la sécurité sur la zone de l'aéroport a répondu que les responsables de la sécurité de l'aéroport étaient bel et bien au courant que le 11 septembre était un coup monté (selon Charles E. Lewis, qui a travaillé sur les systèmes de sécurité de l’aéroport de Los Angeles).

L'affirmation selon laquelle le Pentagone n'était pas au courant qu'un appareil se dirigeait dans sa direction est encore plus mise à mal par une découverte récente. En effet, à ce moment-là, un E-4B, un avion militaire équipé d'un centre de commandement et de communication extrêmement sophistiqué, volait au-dessus de Washington (…) Si l'on savait qu'un E-4B survolait la Maison-Blanche, à quelques kilomètres du Pentagone, l'affirmation selon laquelle personne au Pentagone n'était au courant qu'un appareil se dirigeait vers le bâtiment apparaît alors purement invraisemblable. (…)
Cette vidéo montre que l’E-4B survolait déjà Washington environ 2 minutes et 20 secondes avant la frappe sur le Pentagone

Galope, employée comme assistante administrative au bureau exécutif de l'armée de Terre (…) reprenait son travail le 11 septembre au matin après un congé de maternité de deux mois. Elle avait emmené avec elle son petit garçon, Elisha, et s'apprêtait à le conduire à la garderie. (…) « Je n'avais pas de kérosène sur moi. (…) Je n'ai vu aucun siège d'avion. Je n'ai vu aucun morceau d'avion. (…) Je n'ai rien vu qui puisse faire penser que c'était un avion. (…) Je n'ai rien vu sur la pelouse. (…) Je n'ai vu aucun bagage, ni morceau de métal. » (…) Elle pensait que son ordinateur avait déclenché une bombe.

(…) Plusieurs témoins ont déclaré avoir senti une odeur de cordite, une substance utilisée pour fabriquer certaines bombes et dotée d'une odeur très particulière, totalement différente de celle du kérosène. L'un de ces témoins est Gilah Goldsmith, avocate au Pentagone. Après avoir entendu un « bruit très puissant mais bref », elle a vu « un gros nuage de fumée noire », et elle ajoute que ça sentait la même odeur que la cordite ou la poudre d'une balle de fusil (…)

Il est intéressant de noter qu'un nombre important des 125 victimes de l'attentat au Pentagone était non pas des militaires, mais des civils, dont beaucoup travaillaient pour les services comptables (…)
Lors d'une conférence de presse qui se déroulait la veille des événements, Rumsfeld, le ministre de la défense, a déclaré que le Pentagone avait perdu la trace de 2300 milliards de dollars.
(…) l’une des parties les plus endommagées comprenait les bureaux de contrôle et de la gestion des comptes financiers du Pentagone. (…)
Civil employé en tant que contrôleur des comptes, Michael Nielsen travaillait au service de la gestion du secteur financier de l'armée. Il a survécu probablement parce qu'il était reparti dans son propre bureau (provisoire) juste avant l'attaque qui a tué la plupart des personnes présentes dans les bureaux du service de gestion. Lorsque Honegger a demandé à Nielsen s'il pensait que ce service pouvait avoir été la cible de l'attaque à cause de l'argent disparu, il a répondu par l'affirmative et Honegger raconte qu'il a ajouté que les données ont été détruites.
(…) Si le Pentagone a été attaqué sur ordre du général Richard Myers et d'autres officiers de l'armée de l'Air, ils n'ont pas visé leur propre personnel : toutes les victimes faisaient partie de l'armée de Terre ou de la Marine, ou travaillaient pour elles.

(…) « aucune alarme n'a retenti », même après que des gens aient crié qu'une bombe avait explosé. April Gallop a particulièrement insisté sur l'absence d'alarme (…) Elle se souvient que c'était très étrange, car avant le 11 septembre, il y avait de temps en temps « des exercices au cours desquels l'alarme retentissait pour que l'on évacue le bâtiment ». Elle explique même avoir été « agacée par la fréquence de ces exercices d'évacuation ». Mais, « ce jour-là en particulier, aucune alarme ». C'est particulièrement étrange, ajoute-t-elle, « en sachant ce qui venait de se produire au World Trade Center ».

Lon Rains, rédacteur en chef de Space News, alors qu'il se dirigeait vers le nord sur la I-395 raconte : « la circulation avançait au pas devant le Pentagone (…) qui se trouvait sur la gauche de mon véhicule (…) A ce moment, j’ai entendu un bruit très puissant, c’est passé en trombe. Ce bruit est parti de derrière moi et s’est arrêté devant moi sur ma gauche. En une fraction de seconde, j’ai entendu l’impact et une explosion (…) J’étais sûr que c’était un missile. C'est arrivé avec une telle rapidité que le bruit était tout sauf celui d'un avion.»

Pourquoi aurait-on considéré le Pentagone comme le bâtiment le mieux défendu au monde si, contrairement à la Maison-Blanche, il ne possédait pas de défenses anti-aériennes ?

(…) Étant donné la technologie de l'époque, en 2001, il est impossible, ou presque, de communiquer depuis un téléphone portable à partir d'un avion volant à haute altitude, (la plupart des appels émis depuis le vol UA93 auraient été effectués à une altitude comprise entre 10 450 m et 12 400 m).
(…) A.K. Dewdney, un mathématicien canadien qui écrit régulièrement pour le magazine Scientific American, (…) explique qu'à 6000 m d'altitude, « il n'y avait qu'une chance sur cent qu’un téléphone cellulaire établisse le contact avec un relais et réussisse à entrer en liaison avec un autre téléphone cellulaire. (…) La probabilité que deux téléphones y arrivent est inférieure à un pour 10 000 ». La probabilité que 9 appels aboutissent depuis cette altitude est, dit-il, « infinitésimale ».(…)
Un gros avion de ligne, de masse bien plus grande, est encore mieux isolé des signaux.

Jack Grandcolas, en parlant d'un appel qu’il dit avoir reçu de sa femme Lauren, décrit ce qu'il entendait : « C'était très calme dans l'avion. Personne ne criait, elle semblait calme. »
Liz Glick décrit l'appel qu'elle explique avoir reçu de son époux, Jeremy : « Il était tellement calme, c'était si calme dans l'avion que si je n'avais pas suivi des informations à la télé, je ne l'aurais jamais cru. (…) J'ai été étonnée par la quiétude qui régnait. Je n'entendais personne crier. Je n'entendais aucun bruit, ni aucune agitation. »
Kathy Hoglan, la tante de Mark Bingham, l'un des passagers, expliquait qu'il était « calme, s'exprimant dans ton très neutre ». (…) Kathy Hoglan a dit à sa belle-soeur Alice : « Viens parler à Mark, son avion a été détourné. » lorsqu'Alice a pris le combiné et dit : « Allô, Marc », la personne a répondu : « Maman, c’est Mark Bingham». Est-ce  que quelqu'un, même en situation de stress, s'adresserait à sa mère en lui donnant nom et prénom, surtout après que ceci ait déjà prononcé son prénom ?
Esther Heynam explique avoir reçu un appel de sa belle-fille Honor Élisabeth Wainio. Elle le décrit en précisant qu’ « Élisabeth est restée remarquablement calme tout le long de la conversation ». D’après le journaliste Jere Longman du New York Times : « Esther n’entendait personne d'autre. Elle n'entendait personne parler, pleurer, crier ou même gendre. Rien du tout. » (…)
(…) Lorsque Deena lui explique que les enfants voudraient lui parler, il lui répond : « Dis-leur que je leur parlerai plus tard ». (…) Peut-on croire que plutôt que de vouloir parler à ses enfants peut-être pour la dernière fois, il aurait demandé à sa femme de leur dire qu'il leur « parlerait plus tard » ? N’est-il pas plus probable que « Tom » ait dit cela afin d'éviter de montrer qu'il ne savait rien d’eux, même pas leurs prénoms ?

Un photographe d'un journal local a rapporté : « Je ne pensais pas que j'étais au bon endroit (…) J'ai cherché les indices de la présence de l'empennage, des ailes de l'avion, de métal. Il n'y avait rien. » Un secouriste a expliqué : « Il n'y avait rien de ce à quoi on s’attend normalement. Quand un avion s'écrase, il y un avion et il y a des victimes. »
(…) Le vol UA93 était censé contenir 140 000 litres de kérosène au moment du crash (…) Aucune trace de carburant. (…) Aucune odeur de carburant. Aucun signe d'un incendie important. Enfin, le plus étrange, c'est le fait qu’il semble y avoir eu deux sites de crash.

(…) Bien que la FAA (Federal Aviation Administration) ait su depuis 9h32 que le vol UA93 était sous le contrôle de pirates de l'air armés d'une bombe, les responsables n'auraient pas alerté les militaires avant 10h07 (soit 35 minutes plus tard !), une fois que l'avion s'était écrasé (…)
L'affirmation de la commission selon laquelle les militaires n'étaient pas au courant du détournement du vol UA93 avant qu'il ne s'écrase est peu vraisemblable pour plusieurs raisons. Cette version implique un comportement très peu plausible de la part des responsables de la FAA. Elle implique également que les responsables militaires auraient menti de façon irrationnelle et incompréhensible. Enfin, cette version contredit à la fois les témoignages des responsables de la FAA, de l'armée et de la Maison-Blanche.

Par ligne sécurisée, le Vice-président Cheney a donné l'autorisation aux militaires d'abattre tout appareil menaçant Washington. (…) Selon le colonel Robert Marr, chef du centre opérationnel du NORAD (…) le fait que l'autorisation de tir à bel et bien été transmise aux pilotes de chasse est confirmée par trois d'entre eux dont le lieutenant Anthony Kuczynski, qui a témoigné que lui-même ainsi que deux autres pilotes de F-16 avaient « reçu l'ordre direct abattre un avion de ligne (le vol UA93) ».
(…) Trois employés de la NSA (National Security Agency) ont confirmé que le vol UA93 « a été abattu au-dessus de la campagne de Pennsylvanie par des chasseurs de l'US Air Force partis de la base d’Andrews, dans le Maryland ».

(…) Ils auraient dû supposer que le président pouvait représenter une cible potentielle, et donc qu'un avion détourné aurait très bien pu être précipité sur l'école à tout moment.

Dans un article du 22 septembre 2001, intitulé « Un des pirates de l'air toujours en vie au Maroc », David Bamford, de la BBC, a été clair sur le fait que l'homme portant ce nom, identifié par le FBI comme étant l'un des pirates, était toujours en vie (…) Néanmoins, la commission a admis la liste des pirates fournis par le SBI, tient qui incluait al-Shehri. Elle déclare même qu'il a probablement poignardé une des hôtesses de l'air du vol AA11.
(…) un musulman radical ne se soûle pas et ne sort pas dans un club de strip-tease en espérant se rendre au paradis (…) Il est incompréhensible qu'une personne puisse boire et aller dans un bar de strip-tease la veille du jour où elle va se tuer au nom de l'islam…
La Commission dissimule également le fait (…) que Atta avait vécu avec une strip-teaseuse du nom d’Amanda Keller à Venice, sur la côte ouest de la Floride début 2001. (…) Hopsicker décrit le premier rendez-vous entre Atta et Keller comme une « soûlerie orgiaque saupoudrée de cocaïne pendant trois jours à Key West, très éloigné d'une quelconque dévotion islamique ».
(…) Les documents retrouvés dans les bagages d’Atta qui n'auraient pas été embarqués dans le vol AA11, semblent avoir été déposés là intentionnellement. (…) La navette est arrivée une heure avant le départ prévu du vol AA11. Pourquoi alors, les bagages d'Atta ne furent-ils pas chargés dans le vol AA11 ?

La Commission n’a pas non plus révélé que l’envoyé spécial du Président Bush en Afghanistan, Zalmay Khalizad, et le nouveau Premier ministre du gouvernement qui succéda aux Taliban, Hamid Karzai, avaient tous deux travaillé pour Unocal (…)
(…) le Projet pour un Nouveau Siècle Américain (PNAC), un groupe de réflexion néoconservateur dont plusieurs membres firent ensuite partie de l'administration Bush dont Dick Cheney, Zalmay Khalilzad, Richard Perle, Donal Rumsfeld, Paul Wolfovitz…
(…) Non contente de passer sous silence ce qui concerne l'Irak dans le document du PNAC, Reconstruire les Défenses de l'Amérique, la Commission d'enquête tait aussi son passage le plus célèbre : celui ou les néoconservateurs indique qu'un « nouveau Pearl Harbor » aiderait à mener à bien le plan qu'ils proposent. (…)
Le 11 septembre a été décrit comme une « opportunité » par plusieurs membres de l'administration Bush, le Président déclarant lui-même que les attentats avaient fourni « une grande opportunité », et Rumsfeld ayant expliqué qu'ils avaient créé « le genre d'opportunités qu'avait offerte la seconde guerre mondiale, celle de refaçonner le monde ». (…)
Le général Wesley Clark a aussi rapporté cette intention d'une manière un peu différente, en déclarant qu'un général trois étoiles du Pentagone lui avait dit fin 2001 que le Pentagone allait « s'emparer de 7 pays en 5 ans », en commençant par l'Irak, en passant par la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie et le Soudan, et en finissant par l'Iran.
(…) Les trois hommes qui ont préconisé, publiquement et avec insistance, de développer les capacités de mener une guerre depuis l'espace, Rumsfeld, Myers et Eberhart (respectivement ministre de la Défense, Général d'armée aérienne et Vice-président du Comité des Chefs d'Etat-major interarmées, et commandant du NORAD) sont également ceux qui auraient été les plus directement impliqués dans un éventuel ordre de non-intervention le 11 septembre.

Andreas von Bülow, ancien Secrétaire d'État à la Défense de l'Allemagne de l'Ouest l’affirme : « C’est inimaginable sans une longue complicité secrète de l'État et des agences ».
Horst Ehmke, ancien ministre de la Recherche et de la Technologie en Allemagne de l'Ouest, assure : « Des terroristes n'ont pas pu mettre en œuvre une telle opération impliquant quatre avions détournés sans l'aide des services secrets ».
Le général Léonid Ivashov, qui était alors chef d'état-major des armées de Russie, analyse : « Seuls des services secrets et leurs responsables - ou d'anciens responsables ayant conservé une influence à l'intérieur des structures étatiques - sont capables de planifier, d'organiser, et de mettre en œuvre une opération d'une telle ampleur. (…) Oussama Ben Laden et « al-Qaïda » ne peuvent être ni les organisateurs ni les exécutants des attentats du 11 septembre. Ils n'en ont pas les moyens en termes d'organisation, de ressources ou de dirigeants. »
D'après Mohamed Hassanein Heikal, ancien ministre des Affaires étrangères d'Égypte :
«Lorsque j'ai entendu Bush parler d'al-Qaïda comme s'il s'agissait de l'Allemagne nazie ou du parti communiste de l'Union soviétique, j’ai eu un fou rire car je sais de quoi il est question. Ben Laden et sous surveillance depuis plusieurs années : tous ses coups de téléphone étaient enregistrés et al-Qaïda s'est trouvée infiltrée par les services de renseignements américains, pakistanais, saoudien, égyptien. »
Pour le général Mirza Aslam Beg, ancien chef d'état-major de l'armée pakistanaise : « Beaucoup d'entre nous, ici, pensons qu’Oussama ou son organisation al-Qaïda ne sont pas responsables des attentats du 11 septembre. (…) Ben Laden et al-Qaïda n’ont pas le savoir-faire ou les capacités d'organiser ce genre d'opération exigeant une coordination exemplaire et nécessitant à la fois de grandes compétences et des informations précises. »

(…) Le virement de 100 000 $ à Mohamed Atta effectué par un agent de l'ISI à la demande du général Ahmad…
(…) selon plusieurs membres de la Commission, on avait découvert des preuves que le Pakistan et l'Arabie Saoudite avaient joué un rôle dans l'opération.
(…) Enfin, la commission n'estime pas non plus utile de parler du fait qu'un autre Pakistanais, Rajaa Gulum Abbas semblait savoir dès 1999 que les Tours Jumelles allaient s'effondrer.
En évitant d'évoquer chacun de ces points, la Commission d'enquête recommande finalement, avec le plus grand sérieux, de maintenir « le niveau actuel d'aide au Pakistan ».
Accessoirement, l'administration Bush n’a pas simplement maintenu le niveau d'aide au Pakistan tel qu'il était avant le 11 septembre, elle l’a augmenté de manière astronomique. Le Pakistan recevait seulement environ 3 millions de dollars d’aide militaire par an (c'est-à-dire moins que l'Estonie ou le Panama). Mais ensuite, le Pakistan a commencé à recevoir plus de 1,5 milliards de dollars par an (plus que n'importe quel autre pays excepté Israël et l'Égypte), et cela uniquement en aide militaire. Le montant total des aides que les États-Unis ont envoyées au Pakistan depuis les attentats jusqu'à 2007 s’élève à plus de 10 milliards de dollars, peut-être même deux fois plus si l'on inclut les aides secrètes.
(…) un article du New York Times, de décembre 2007, paru seulement trois jours avant l'assassinat de Benazir Bhutto, confirme que tous ces équipements militaires ne servaient pas à combattre al-Qaïda ou les talibans.

Ainsi, si le 11-septembre a en partie été orchestré dans le but de faire grimper les budgets militaires, ce fut un grand succès.

(…) L'enquête de la commission était dirigée par Philippe Zelikow et donc en fait, par l'administration Bush elle-même. (…) La « Commission Zelikow » a simplement considéré comme vraie la version de l'Administration Bush. (…) Ils sont partis de la conclusion selon laquelle le 11 septembre représente « l'opération la plus réussie d'al-Qaïda ».
Kean et Hamilton vont jusqu'à reconnaître que les conclusions de la Commission était posées dès le départ (…) les travaux de la Commission débutaient à peine que les deux présidents s'étaient mis d'accord avec Zelikow et May (…) pour cacher aux quelques 80 membres de l'équipe que leur travail serait limité et consisterait à remplir les paragraphes menant aux conclusions rédigées avant même le début de l'enquête.
« Zelikow s'était arrangé pour que l'équipe de travail ait très peu, voire aucun contact avec les dix membres de la Commission ; toute information passait par lui, et il décidait de ce qu’on en ferait (…) Zelikow a réécrit quasiment tout ce qui lui avait été transmis, en général de la première à la dernière phrase ». (Shenon)

Zelikow se trouve être le rédacteur principal de la version 2002 du document « The National Security Strategy of The United States of America » (…) Condoleezza Rice avait confié la tâche à son collègue de longue date Philip Zelikow (…) Sa rédaction du NSS 2002 est importante, car ce document se fonde sur le 11-septembre pour définir une nouvelle doctrine d’attaque, dite « préventive » et à visée impériale, depuis longtemps appelée de leurs vœux par les néoconservateurs. (…)
Lorsque les membres du personnel de la Commission ont appris que Zelikow était l'auteur principal du UNSS 2002, beaucoup furent stupéfaits. C'était assurément son conflit d'intérêts le plus grave en tant que directeur de l'enquête.

L’implication de Zelikow dans la rédaction du NSS 2002 signifie que lorsque la Commission enquêtait sur la responsabilité de la Maison-Blanche dans le 11-septembre, c'était la Maison-Blanche qui enquêtait sur elle-même (…)

En 1998 Zelikow avait écrit un essai sur le « terrorisme de catastrophe ».
Non seulement ce document étonnant évoque une nouvelle catastrophe qui aurait les mêmes effets que l'attaque japonaise sur Pearl Harbor, mais il est également question d'un nouvel attentat contre le World Trade Center. Ce texte prédit aussi avec justesse que de cette nouvelle catastrophe résulterait une rupture entre « un avant et un après ». (…) De même, est décrite par le menu la batterie de mesures liberticides (ou « draconiennes ») que le gouvernement serait amené à prendre au lendemain des attentats. Zelikow et ses coauteurs ont anticipé les effets d'un « nouveau Pearl Harbor », avec une remarquable exactitude.

(…) Le deuxième élément que Zelikow a évité de mentionner dans son CV conserve son aide à la transition entre les Administrations Clinton et Bush, à la demande de Condoleezza Rice.
(…) Kean et Hamilton ont laissé Zelikow écrire son propre communiqué de presse, qui « oubliait » de mentionner les éléments compromettants dont ils connaissaient pourtant une partie.

(…) Après avoir demandé la révocation de Zelikow en 2003, le Comité Directeur des Familles de Victimes rendit public ce communiqué de presse le 20 mars 2004 : « Il est évident que le Dr Zelikow n’aurait jamais dû être autorisé à siéger en tant que Directeur exécutif de la Commission. (…) Il est manifeste que ses conflits d'intérêts vont au-delà de ceux concernant la période de transition. (…) Le Comité Directeur des Familles demande : 1/ la démission immédiate du Dr Zelikow (…) 4/ que la Commission présente des excuses aux familles des victimes ainsi qu'à l'Amérique entière pour cette faute évidente qu’est le choix du Dr Zelikow pour ce poste. »

Les enregistrements du NORAD ont montré que les déclarations publiques du NORAD concernant la réaction des militaires sur le 11 septembre étaient fausses, sans doute intentionnellement.
(…) Ainsi, Cambone, en sa qualité de Sous-secrétaire à la Défense pour le Renseignement, aurait pu transmettre les enregistrements à la DIA, en leur expliquant comment les « arranger » » afin de montrer que les militaires n'avaient aucune responsabilité. Au lieu de révéler que la FAA n'avait rien à se reprocher, comme aurait dû (c'est une hypothèse) le montrer les enregistrements originaux, des enregistrements modifiés établiraient alors que la FAA était entièrement responsable, coupant court à tout ce qui pourrait laisser penser que les militaires n’étaient, volontairement, pas intervenus.

(…) un sondage de l’institut Zogby de mai 2006 indique que 42 % des Américains pensent que des éléments contredisant la version officielle ont été dissimulés par la Commission d'enquête. Seulement 48 % estiment que l'on n’a rien cherché à cacher. (…) À mesure que les gens s'informaient sur le 11-septembre, ils prenaient de plus en plus de distance par rapport à la version de la Commission…

(…) Francesco Cossiga, ancien Premier Ministre et Président italien, a déclaré que le 11 septembre avait été organisé et perpétré par la CIA « pour en accuser à tort les pays musulmans et persuader les puissances occidentales d'attaquer l'Irak et l’Afghanistan. »


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire